
Le texte de Alain Tortosa, est une satire qui invente une maladie fictive appelée “kennedyte”, prétendument inspirée par John F. Kennedy et ses descendants. Cette maladie est décrite de manière ironique comme une combinaison de traits de personnalité tels que la paranoïa, un sens profond des valeurs, et un engagement obsessionnel pour des causes perçues comme justes, mais souvent en opposition avec des institutions et figures puissantes.
La “kennedyte” est divisée en deux parties :
- Partie A : symptômes comme la paranoïa, l’honnêteté brute, et un désir de vérité et de justice.
- Partie B : concerne ceux qui, avec un potentiel de succès, se mettent en danger en s’opposant aux “forces du mal” perçues.
Le texte fait également référence aux membres de la famille Kennedy, énumérant leurs tragédies et insinuant une composante génétique possible. Il se termine en avertissant de manière humoristique des dangers de cette “maladie” pour la société et de la nécessité de contrôler l’information pour éviter sa propagation.