
Synthèse des Pages de 5 à 57 sur 520 du Rapport du Congrès Américain:
Dans cet Article:
- Manipulations au sommet pour dissimuler l’origine potentielle du SRAS-CoV-2
- PDF : Traduction Reaction19, du Rapport du Congrès Américain de décembre 2024
- PDF : Original, du Rapport du Congrès Américain de décembre 2024
Manipulations au sommet pour dissimuler l’origine potentielle du SRAS-CoV-2
Le rôle central du Dr Anthony Fauci et d’autres figures influentes dans l’orchestration de la minimisation de la théorie de la fuite de laboratoire est un exemple accablant de manipulation de la science à des fins politiques. Les documents révèlent une série de décisions délibérées, où des intérêts personnels, institutionnels et géopolitiques ont primé sur la vérité scientifique, contribuant ainsi à une catastrophe mondiale aux conséquences inimaginables.
Les faits troublants : Une mascarade scientifique préméditée
- Un article de façade pour “enterrer” la vérité :
- L’article The Proximal Origin of SARS-CoV-2, présenté comme une analyse scientifique indépendante, a été instigué, influencé et manipulé par le Dr Fauci, Jeremy Farrar (Wellcome Trust), et Francis Collins (NIH).
- Les conclusions ont été délibérément orientées pour discréditer la théorie de la fuite de laboratoire, alors que les auteurs eux-mêmes admettaient en privé que les preuves disponibles ne permettaient pas de l’écarter de manière certaine.
- Une coordination secrète pour étouffer les soupçons :
- Dès février 2020, une téléconférence entre Fauci, Collins et plusieurs scientifiques a marqué le point de départ d’une campagne concertée pour minimiser l’idée que le virus aurait pu s’échapper du laboratoire de Wuhan.
- Des pressions ont été exercées sur les scientifiques pour aligner leurs conclusions avec les intérêts politiques et institutionnels, au mépris des principes fondamentaux de la recherche scientifique.
Un crime contre la transparence scientifique
Des scientifiques manipulés pour des objectifs politiques
- Les emails et les échanges internes révèlent un double discours :
- En privé, des scientifiques comme Kristian Andersen ou Edward Holmes ont exprimé leurs profondes inquiétudes sur les anomalies du virus, comme le site de clivage de la furine, qui suggérait une possible manipulation génétique.
- En public, ces mêmes scientifiques ont signé un article affirmant que la théorie de la fuite de laboratoire était “improbable”, suivant une narrative imposée par Fauci et ses alliés.
Pression sur les éditeurs pour publier une version biaisée
- Après un premier refus par Nature, jugé insuffisamment convaincant pour exclure la fuite de laboratoire, l’article a été révisé et présenté à Nature Medicine avec des conclusions plus affirmées, mais scientifiquement infondées.
- Les auteurs ont intégré des affirmations non étayées, comme : “Nous ne pensons pas qu’un scénario de laboratoire soit plausible”, une déclaration contredite par leurs propres communications privées.
Un coût humain et politique colossal
Impact direct sur la gestion de la pandémie
- En discréditant la théorie de la fuite de laboratoire dès les premières semaines, cette campagne a empêché une enquête immédiate et approfondie sur les origines du virus.
- L’absence de transparence a favorisé la désinformation, retardé l’adoption de mesures adaptées, et exacerbé une crise sanitaire mondiale ayant coûté des millions de vies humaines.
Complicité avec la Chine et sabotage de la coopération internationale
- Le rôle actif des NIH et d’autres institutions pour protéger la Chine de toute responsabilité a sapé la confiance dans la recherche scientifique et les institutions publiques.
- Cette stratégie de protection des intérêts chinois, sous prétexte d’éviter une “rupture de l’harmonie internationale”, a eu pour effet d’aggraver les tensions géopolitiques et de miner les efforts pour prévenir de futures pandémies.
Un détournement de la science pour des intérêts privés
Des conflits d’intérêts flagrants
- Les scientifiques impliqués dans Proximal Origin avaient des liens directs avec des recherches sur le gain de fonction, souvent financées par les NIH et EcoHealth Alliance, en collaboration avec l’Institut de virologie de Wuhan.
- Fauci et ses collègues avaient un intérêt personnel à écarter la théorie de la fuite de laboratoire, qui aurait exposé leurs rôles dans le financement de recherches controversées, menées avec des protocoles de sécurité douteux.
Un sabotage de la régulation et de la biosécurité
- En excluant publiquement la possibilité d’une fuite de laboratoire, Fauci et ses alliés ont évité une révision nécessaire des réglementations sur les recherches à haut risque, comme celles impliquant le gain de fonction.
- Cette négligence a perpétué les risques d’une future catastrophe similaire.
Des mensonges institutionnels propagés à grande échelle
Manipulation des médias et du discours public
- Fauci, depuis la tribune de la Maison-Blanche, a utilisé Proximal Origin comme une “preuve scientifique” pour rejeter les préoccupations légitimes sur les origines du virus, bien qu’il ait admis ne pas avoir lu l’article en détail.
- Le New York Times et d’autres médias influents ont adopté cette narrative biaisée, écartant tout débat scientifique et qualifiant de “conspirationnistes” ceux qui défendaient la théorie de la fuite de laboratoire.
Des déclarations trompeuses sous couvert de science
- Le Dr Collins a admis en interne que l’objectif de Proximal Origin était de “mettre la théorie de la fuite au placard”, une intention diamétralement opposée à une démarche scientifique honnête.
Conséquences catastrophiques : Une pandémie aggravée par le mensonge
- Des millions de morts évitables :
- L’échec à enquêter sur l’origine du virus a entravé la capacité à identifier les failles dans les laboratoires de haute sécurité, retardant la prévention de nouvelles pandémies.
- Une crise de confiance mondiale :
- La manipulation des faits par Fauci et d’autres responsables a saboté la crédibilité de la communauté scientifique, renforçant la méfiance envers les institutions publiques.
- Une impunité persistante :
- Malgré des preuves accablantes, les responsables de cette désinformation n’ont jamais été tenus pour responsables. La transparence a été sacrifiée sur l’autel des intérêts politiques et financiers.
Un scandale d’une ampleur historique
Le rôle de Fauci et des institutions qu’il dirigeait dans l’étouffement de la vérité sur les origines du SRAS-CoV-2 représente un échec moral et institutionnel majeur. En sacrifiant la science à des fins politiques, ils ont contribué à une catastrophe qui continue de redéfinir le monde. Ce scandale souligne la nécessité urgente d’une réforme profonde de la gouvernance scientifique et d’une responsabilisation sans compromis des acteurs impliqués.