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La Pandémie du Mensonge et de la Peur (Ed Augustin de Livois) : un médecin en quête de vérité (06/2022)
https://www.lheterodoxe.com/

Un Médecin en quête de vérité (juin 2022)

Résumé du livre

Ce livre raconte mon enquête sur la pandémie. Je suis un interniste/ cardiologue fort de 45 ans d’expérience clinique dont 7 ans de médecine générale. Retraité depuis fin 2017, quand j’ai appris les mesures prises par le Président Macron pour endiguer la pandémie, j’ai crié « au fou ». Ses décisions n’avaient non seulement aucune justification scientifique ou médicale mais elles étaient même totalement contraires aux principes de la santé publique et de l’éthique médicale. Il commençait par mettre hors circuit la médecine générale, celle dont on a le plus besoin dans de telles circonstances et il interdisait l’utilisation d’autres médicaments que le paracétamol, ce qui est une violation manifeste de la liberté thérapeutique du médecin. Tout cela « puait » la manipulation par l’industrie pharmaceutique des autorités politiques et sanitaires. Je connais cette industrie depuis cinquante ans et son puissant pouvoir de « corruption douce » du monde scientifique et médical.

Cependant, comme les médecins généralistes ne se sont pas révoltés, que les conseils de l’ordre se sont aplatis devant l’autorité politique, et que tous les pays « convaincus » ont adopté la même stratégie « folle », j’ai décidé, dégoûté, de me désintéresser totalement de cette pandémie. J’étais certain qu’on allait droit à la catastrophe, que les dommages psychologiques, sociaux et économiques allaient largement dépasser les dommages sanitaires.

J’ai été réveillé de mon désintérêt quand, suite à la seconde dose du vaccin (indispensable pour remonter en Belgique), j’ai eu le sentiment d’avoir, en quelques jours, vieilli de 10 ans. La situation ne s’améliore toujours pas après 2 mois et prenant conscience d’une fréquence tout à fait anormalement d’effets secondaires graves dans mon entourage proche, j’ai décidé, vers la mi-août 2021, de mener une enquête fouillée dans le mais « comprendre » ce qui avait bien pu transformer une « banale » épidémie virale en cette incroyable « guerre de religion » entre prétendus « anti-vax » et « pro-vax ». Depuis, ce travail m’a occupé à plein temps.

Mon premier objectif a été de comprendre l’origine du virus et, alors que l’évidence du bon sens mais aussi des arguments génétiques très sérieux indiquaient clairement que le virus était une chimère sortie du laboratoire de Wuhan, des articles ont été publiés par des virologues américains qualifiant les défenseurs de la thèse artificielle de « complotistes ». On sait le succès qu’a eu cette injure dans la suite des événements. Un argument idéologique s’était donc introduit dans le « débat contradictoire » théoriquement rationnel de la Science. Or, à mon grand étonnement, la thèse naturelle a fini par passer, aux yeux du grand public, pour un « consensus scientifique». Un gigantesque « mensonge originel » avait donc remplacé une évidente « vérité scientifique ». Ce mensonge était un mensonge d’Etats couvert par tous les gouvernements impliqués dans la création du « monstre viral », c’est-à-dire la Chine et les USA mais aussi la France, le Canada et l’Australie. De scientifique, la question était donc devenue politique.

J’ai ensuite pris conscience, un peu par hasard en surfant sur internet, qu’aux USA, une foule de médecins et de scientifiques de très haut niveau étaient l’objet d’une très redoutable censure médiatique et de campagnes publiques de dénigrement et de calomnies. En quarante ans de métier, je n’avais jamais assisté à cela. Le débat contradictoire s’était transformé en une censure des idées contraires à la doctrine (doxa) des autorités politiques, c’est-à-dire en une pensée unique chère aux régimes totalitaires. Manifestement, une « main invisible » s’occupait de réduire au silence toutes les voix autorisées (universitaires) qui n’approuvaient pas la stratégie des autorités politiques.

De plus j’ai accéléré dans mon enquête plus l’intervention de cette « main invisible » m’est apparue évidente et puissante. Ce n’est qu’en étudiant les relations – étranges à mes yeux – entre l’OMS et Bill Gates que j’ai commencé à comprendre qu’une gigantesque manœuvre politique et commerciale de niveau mondial agissait en coulisse. Seule une explication de type « complot mondial » me permet de comprendre la logique de cette stratégie « folle ». Il suffisait (?) d’admettre l’hypothèse, « impensable » pour l’homme de la rue, que le mais réel imposé par nos autorités n’est pas du tout d’ordre sanitaire mais exclusivement politique. L’épidémie n’a été qu’un prétexte pour tenter de mettre en place, sans que le « peuple » n’en prenne conscience, une gouvernance mondiale imaginée et patiemment préparée depuis cinquante ans par un économiste suisse, Klaus Schwab, qui se définit comme un lobbyiste. Un lobbyiste est quelqu’un mandaté par les secteursprivés pour « influencer » les secteurs publics. Son côté « visionnaire » (fou ou génial) et son entêtement infatigable sont parvenus à faire se réunir tous les ans à Davos à la fois les privés les plus puissants de la planète -ceux qui ont dans leurs mains les deux clés du pouvoir : l’argent et l’information – et les détenteurs des pouvoirs publics, c’est-à-dire les hommes politiques. Non seulement il est parvenu à réunir ces gens dont la finalité est théoriquement diamétralement opposée (pour le privé, maximiser les profits et pour le public, défendre l’intérêt commun) mais même à les faire adhérer à un projet commun séduisant mais qui devait rester secret, créer une société mondiale dans laquelle règnerait un « partenariat public-privé ». Pour s’assurer que son projet percole bien dans l’esprit des hommes politiques, il a formé lui-même depuis 20 ans les futures élites du monde politique, soigneusement sélectionnées en fonction de leur adhésion à son projet, via son programme des « Young Global Leaders » (1.300 promus) et des « Young Global Shapers » (10.000 promus). Il a ainsi converti à sa cause une foule de jeunes ayant des ambitions politiques et qui savaient qu’ils pouvaient compter sur l’appui des puissances privées pour grimper les échelons de la hiérarchie et se créer un réseau de relations. Tous ces futurs hommes politiques sont ainsi devenus les obligés des puissances privées.

Au début de la pandémie, Klaus Schwab a rappelé à tous ses élèves par un livre (Covid-19 : la grande réinitialisation) son projet mondialiste et l’ « opportunité rare et unique »» qu’offrait cette épidémie pour le mettre en œuvre. La plupart de nos leaders politiques étant des anciens Young Global Leaders, ils savaient que pour imposer leur politique liberticide très impopulaire, ils allaient être soutenus par les GAFAM, les agences de presse et les agences de communication (Mc Kinsey, Publicis) dont les patrons sont tous des membres influents du Forum de Davos. Sans ce soutien de la « main invisible » des géants de l’information et des médias, jamais leur politique contraignante de la crise n’aurait été acceptée par la population. Tous ces géants sont parvenus à désinformer et censurer massivement les populations et à créer subrepticement un climat de panique, condition indispensable à la suggestion (hypnotique) de dogmes irrationnels comme celui du « vaccin, voie unique du salut » ou de la nécessité impérieuse de confiner ou de porter des masques. Toutes ces mesures – sans aucun fondement scientifique ou médical – ne valent qu’à la soumission des individus à l’autorité politique. Nos dirigeants politiques ont donc délibérément trompé leurs électeurs en vendant leur âme (le projet démocratique) au diable (les intérêts privés) et en instrumentalisant une situation sanitaire largement exagérée à des fins politiques.

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