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La nomination de Michel Barnier intervient à un moment où le débat sur la gestion chaotique de la crise Covid-19 devient de plus en plus incontournable. Les décisions autoritaires, comme l’obligation vaccinale imposée aux soignants, pompiers et forces armées, ont laissé des cicatrices profondes. Les Français éclairés demandent des comptes sur des choix qui semblent avoir exclusivement servi les intérêts de BigPharma, soutenus par des fonds de pension. Ces entités, que je considère comme un véritable cancer de notre civilisation, exigent une transparence totale pour restaurer la confiance.

La crise dite Covid-19 a profondément impacté la société française, à la fois sur le plan de la santé publique et en ce qui concerne la confiance envers les institutions, les politiques et les médias. Sous la présidence de Macron, l’obligation vaccinale imposée aux soignants, pompiers et certaines forces armées a été l’une des mesures les plus contestées. Ces groupes ont été contraints de recevoir des vaccins à ARNm sous peine de suspension, ce qui a provoqué des tensions et des divisions profondes au sein de la société.

Pendant plus de 18 mois, les personnels non vaccinés ont été suspendus, privés de salaire et laissés sans perspectives claires. Ce qui avait été présenté comme une mesure pour protéger la population et les infrastructures sanitaires a finalement laissé des milliers de soignants sans emploi et sans ressources. Bien que réintégrés en 2023, ces professionnels n’ont reçu aucune indemnisation pour leurs salaires perdus, laissant un sentiment d’injustice persistant.

En parallèle, un appel grandissant à la transparence sur la gestion globale de la crise Covid-19 se fait entendre. De nombreuses voix réclament un audit complet, non seulement sur les choix sanitaires, mais également sur les décisions politiques, la gestion des urgences médicales et surtout la stratégie vaccinale. Les vaccins à ARNm, utilisés massivement, continuent de susciter des questions légitimes quant à leurs effets secondaires. Bien que certains effets indésirables aient été signalés, il n’existe toujours pas de consensus scientifique clair sur les impacts à long terme, alimentant ainsi la défiance d’une partie de la population.

Le rôle des médias traditionnels et subventionnés dans cette gestion est également central dans ce scandale sanitaire. Accusés d’avoir relayé sans questionnement, et parfois avec zèle, la ligne officielle du gouvernement, ces médias ont contribué à l’émergence des médias alternatifs, qui ont gagné en popularité en donnant une voix aux sceptiques et aux critiques des mesures gouvernementales.

Les principales revendications des Français éclairés tournent autour de plusieurs points essentiels:

  1. Indemnisation des soignants réintégrés : Les professionnels suspendus pour avoir refusé le vaccin doivent être indemnisés pour les mois de salaires perdus.
  2. Audit transparent sur la gestion Covid-19 : Faire la lumière sur la gestion de la santé publique, les décisions politiques, et l’obligation vaccinale, qui ont impacté des milliers de travailleurs.
  3. Évaluation des vaccins à ARNm : Les effets secondaires de ces vaccins, toujours en cours d’évaluation, nécessitent des réponses claires basées sur des études indépendantes.
  4. Rétablissement de la confiance dans les institutions : Le nouveau Premier ministre doit rendre des comptes sur les décisions autoritaires prises pendant la crise Covid, qui ont exacerbé la défiance envers l’État et les autorités sanitaires
  5. Dénonciation des fonds de pension : Ces entités, perçues comme le “cancer de notre civilisation”, sont accusées d’avoir dicté des décisions économiques et sanitaires dans l’Occident, l’Union européenne et, par capillarité, en France. Leur influence sur la politique et les choix sanitaires, notamment durant la crise Covid-19, est de plus en plus pointée du doigt. La question de leur rôle dans la gestion des crises et leur pouvoir disproportionné dans les structures publiques devient un enjeu central pour les citoyens qui réclament plus de transparence.

À cela s’ajoute la catastrophe économique provoquée par les décisions prises durant la gestion de la crise Covid-19. Les confinements successifs, la fermeture prolongée des commerces, et les restrictions ont entraîné une chute brutale de l’activité économique, plongeant de nombreux secteurs dans la précarité. Des milliers d’entreprises ont fait faillite, laissant des travailleurs sans emploi ni soutien suffisant. Ces choix économiques controversés, combinés à une gestion sanitaire rigide, ont accru les inégalités et fragilisé encore davantage la confiance dans les institutions économiques et politiques du pays.

Michel Barnier devra impérativement répondre à ces revendications par un débat véritablement transparent, car sans cela, le fossé entre les citoyens et les institutions risque de devenir irrémédiable. La gestion de la crise Covid a révélé des décisions qui semblent davantage motivées par les intérêts de BigPharma, dirigée par des fonds de pension, que par la santé publique. Ces fonds, que l’on pourrait qualifier de “cancer de notre civilisation”, menacent les fondements mêmes de notre société. La population exige des réponses claires, des réparations et un gouvernement au service des citoyens, et non des intérêts financiers.