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Un immense espoir pour les résistants de l’oppression post-COVID : 

Trump et Robert F. Kennedy Jr. s’élèvent avec une critique virulente contre les politiques mondiales imposées par Fauci, orchestrées par l’OMS et adoptées aveuglément par l’EMA, l’Union européenne, et la France…

La victoire de Donald Trump et sa promesse de donner à Robert F. Kennedy Jr. un rôle majeur dans son gouvernement suscitent un profond espoir chez ceux qui demandent des comptes sur la gestion de la crise COVID-19, perçue par beaucoup comme traumatisante et injuste. Cette alliance pourrait permettre aux citoyens d’accéder enfin à une vérité scientifique débarrassée des pressions politiques et commerciales, et de comprendre les motivations ayant inspiré les politiques de confinement, de port du masque obligatoire et de vaccination massive.

Robert F. Kennedy Jr. : symbole de transparence et de justice scientifique

Figure de proue du mouvement pour la transparence, Robert F. Kennedy Jr. incarne l’espoir d’une science affranchie de l’influence pharmaceutique. Son engagement sans faille pour l’intégrité scientifique et la défense des libertés individuelles contraste avec une gestion de crise souvent perçue comme opaque et autoritaire. Kennedy promet de révéler les pratiques qui ont façonné la réponse mondiale à la pandémie, suscitant ainsi la confiance des citoyens, trop souvent déçus et méfiants. Son appel à la justice et à une information honnête redonne foi en une gouvernance sanitaire plus juste.

Fauci : une figure controversée entre influence et proximité avec les laboratoires pharmaceutiques

Anthony Fauci, ancien directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), est pour beaucoup l’incarnation d’une science politisée. Sa gestion de la crise, marquée par des décisions jugées insuffisamment fondées scientifiquement et des recommandations uniformes, a suscité de vives critiques. Fauci a soutenu fermement les vaccins à ARNm et favorisé des mesures telles que le port du masque et des confinements prolongés, malgré des données contradictoires sur leur efficacité. Kennedy et d’autres détracteurs lui reprochent d’avoir exclu les voix dissidentes, contribuant ainsi à un climat de peur qui a étouffé le débat scientifique.

Fauci est également accusé d’avoir négligé des alternatives thérapeutiques au profit d’une « science officielle » rigide. Ces choix, influencés selon certains par les laboratoires pharmaceutiques, ont renforcé la méfiance envers les institutions sanitaires et soulevé des questions de transparence, notamment quant au rôle des laboratoires dans les orientations prises.

L’OMS et l’EMA : des institutions sanitaires perçues comme centralisatrices et peu transparentes

L’OMS et l’EMA, institutions influentes dans les politiques sanitaires mondiales, sont accusées d’avoir imposé des recommandations restrictives, sans prise en compte des particularités locales. L’OMS, dont les directives sont suivies par de nombreux pays, est critiquée pour avoir uniformisé les mesures sanitaires, imposant confinements, port du masque et vaccination sans consultation suffisante des contextes nationaux. Quant à l’EMA, son approbation rapide des vaccins à ARNm a soulevé des interrogations, des observateurs reprochant à l’agence de ne pas avoir exigé davantage de garanties quant aux effets secondaires et à l’efficacité.

Une gestion mondiale uniforme : au détriment des libertés individuelles ?

En suivant aveuglément les directives de l’OMS et de l’EMA, certains gouvernements, comme celui de la France sous Macron, Véran, et d’autres acteurs politiques et médicaux, ont imposé des mesures uniformes et inflexibles. Le confinement, la vaccination obligatoire pour certaines catégories, et le pass sanitaire sont autant de décisions inspirées par des recommandations internationales, jugées par certains critiques comme étant davantage politiques que purement scientifiques, et qui ont étouffé les voix scientifiques indépendantes. En France, Macron, Véran et d’autres ont invoqué ces institutions pour légitimer des mesures qui, selon leurs détracteurs, ont sacrifié les libertés individuelles et ignoré les besoins spécifiques de la population.

Trump, Kennedy et l’appel à une gouvernance respectueuse des droits et des libertés

L’alliance Trump-Kennedy représente pour beaucoup un espoir de renouveau en matière de gouvernance sanitaire, fondé sur la transparence et le respect des droits individuels. En offrant un rôle clé à Kennedy, Trump pourrait initier une rupture avec le modèle actuel, libérant la science de l’influence des laboratoires. Kennedy défend une information rigoureuse et une gestion publique indépendante des intérêts privés, visant à rétablir la confiance des citoyens envers les décisions sanitaires.

La crise COVID-19 : une urgence de réforme des institutions sanitaires internationales, à l’heure où l’intégrité et la justice sont plus nécessaires que jamais

La crise COVID-19 a mis en lumière un besoin urgent de réformer en profondeur les institutions sanitaires internationales, telles que l’OMS et l’EMA, qui, loin de servir les intérêts des citoyens, semblent agir sous la pression de l’ombre d’un « État profond » : un réseau d’influences qui privilégie les intérêts économiques de quelques-uns au détriment du bien commun. Des décisions majeures, comme les confinements, les obligations de vaccination et les pass sanitaires, ont été prises sous couvert de science, alors qu’elles répondaient à des impératifs politiques et financiers opaques. En conséquence, des millions de personnes ont vu leurs vies basculer – emploi perdu, entreprises ruinées, familles brisées, et même des décès liés aux effets collatéraux de ces politiques.

Robert F. Kennedy Jr., dans une voix de révolte et d’espoir, appelle à une gouvernance fondée sur la justice, la transparence et la liberté, où l’on rejette fermement toute standardisation autoritaire des politiques de santé. Sa critique est une exigence : que les décideurs rendent des comptes. Pourquoi des recommandations politiques déguisées en directives scientifiques ont-elles été imposées sans débat ? Pourquoi tant de souffrances infligées sans considération pour les besoins spécifiques des populations ? Kennedy cible des figures influentes comme Fauci, au cœur de ce réseau d’intérêts troubles, pour ouvrir un débat fondamental sur l’intégrité des décisions, qui sont loin d’être anodines.

Au final, l’enjeu dépasse la seule crise de la COVID-19. Il s’agit de poser les bases d’une gouvernance où les citoyens sont informés avec clarté, où les scientifiques peuvent s’exprimer sans subir de pressions commerciales, et où l’intérêt public prime sur les ambitions des puissants. Nous avons besoin d’un modèle où la voix des populations n’est plus étouffée par l’influence des fonds de pensions et d’un État profond qui semble tout contrôler dans l’ombre. Il est temps de rendre justice à ceux qui ont souffert, de retrouver une science intègre et de bâtir une gouvernance enfin au service des citoyens.