
Big Pharma ou l’art de vous rendre malade
Ah, la santé publique, quel beau prétexte ! Voilà que Big Pharma nous sort ses nouvelles directives sur l’hypertension, abaissant la pression artérielle cible à 120-129 mm Hg. Ça a l’air d’une bonne nouvelle, non ? Pour le citoyen lambda, ça ressemble à une avancée. Mais quand on gratte un peu, qu’on décolle le joli vernis, on voit tout de suite ce que c’est vraiment : une belle occasion pour les géants de la pharmacie de faire gonfler leurs portefeuilles, bien au chaud dans leurs beaux costards.
Parce qu’en abaissant les seuils de pression artérielle qu’on jugeait “sains”, c’est le jackpot ! Hier encore, tout allait bien, vous étiez en pleine forme, un vrai tableau de bonne santé. Mais aujourd’hui, vous voilà étiqueté “malade” ou “à risque”. Et qu’est-ce qu’on fait des malades, mes amis ? Eh bien, on les soigne ! Enfin… “soigner”, c’est vite dit. On les bourre de pilules, et pas n’importe lesquelles, hein, celles vendues par qui ? Par Big Pharma, évidemment. Ce n’est pas de la médecine, c’est du commerce bien huilé. Une aubaine maquillée en progrès médical, une vraie recette de grand-mère pour faire du pognon — un superbe coup de maître, un peu comme l’arnaque du “cholestérol” dans les années 80-90. On vous dit que le cholestérol, c’est le diable en personne, qu’il faut faire baisser ça coûte que coûte, et hop ! On revoit les seuils à la baisse. Et avec ça, bim, explosion des prescriptions de statines. Ça tombait à pic : des millions de pilules avalées, des millions de profits amassés.
Et pourtant, malgré les procès, malgré les preuves de tromperies, plus de 40 ans plus tard, ça reste bien coincé dans les cervelles… Comme un vieux disque rayé qui continue de tourner, et pour cause : des décennies de campagnes de sensibilisation, de publicité bien orientée, de recommandations “officielles” pour vous convaincre qu’on est là pour votre bien. Et tout ça avec un sourire bienveillant, histoire de vous faire avaler la pilule, comme la banane, par les deux bouts.
Avant, avec une pression systolique entre 120 et 139 mm Hg, la vie était belle, rien à signaler, tout le monde allait bien. Mais maintenant, attention ! Vous voilà dans la catégorie “pression élevée”. Et là, panique à bord ! On vous colle des traitements “préventifs”. Des petites pilules à avaler chaque jour, comme si c’était des bonbons, même si votre pression était normale avant. Pour résumer, Big Pharma a déplacé les curseurs pour élargir le marché. Plus de patients, plus de ventes. Simple comme bonjour. Du génie commercial, mais de la médecine ? Pas sûr.
Et puis, parlons un peu de la dénervation rénale. Ah, cette intervention toute neuve et bien coûteuse pour les cas d’hypertension résistante ! Est-ce qu’on sait si ça marche vraiment sur le long terme ? Pas vraiment. Mais ce n’est pas bien grave, car c’est cher, c’est high-tech, ça fait moderne, ça impressionne le quidam. Et surtout, ça remplit les caisses ! On s’en fiche de l’efficacité, tant que ça fait tourner la machine à billets, non ?
Et bien sûr, pour couronner le tout, on harmonise les directives européennes avec celles des États-Unis. Quoi de mieux que de copier les Américains pour abaisser encore plus les seuils et rendre toujours plus de gens “malades” ? Là où ça devient vraiment marrant, c’est quand on commence à parler des effets secondaires et de la qualité de vie des patients. Parce que oui, des millions de personnes sous traitement pour une pression à peine élevée, ça fait des effets secondaires. Et leur qualité de vie, est-ce qu’on en parle ? Ah non, ça, ça n’intéresse personne. C’est moins vendeur que le “progrès” médical.
Combien ça rapporte ?
Avant les nouvelles directives :
- Nombre de personnes sous traitement : 500 à 600 millions.
- Coût moyen par personne : environ 200 euros par an.
- Chiffre d’affaires : 100 à 120 milliards d’euros chaque année. C’était déjà pas mal, hein ?
Après les nouvelles directives :
- Nombre de personnes sous traitement : ça passe de 500-600 millions à 700-800 millions.
- Chiffre d’affaires : 140 à 160 milliards d’euros chaque année. Oui, oui, vous avez bien lu.
Jackpot pour Big Pharma
- Nouveaux patients : 200 à 300 millions de plus.
- Jackpot : 40 à 60 milliards d’euros de plus chaque année. Et ça, c’est sans compter les effets secondaires qui vont faire grimper la note encore plus haut.
Mais attendez, le jackpot de +/- 50 milliards d’euros, c’est du pipi de chat à côté de ce que vont rapporter les effets secondaires, les effets indésirables, et la pollution du biotope naturel. Parce que tout ça, c’est la porte ouverte à d’autres problèmes médicaux chez ceux qui ne l’étaient pas encore hier. Des effets en cascade qui vont transformer des gens sains en nouveaux malades. Et ça, ça va passer comme une lettre à la poste auprès d’une population docile, qui semble n’avoir d’autre préoccupation que de “sauver la planète”. Lobotomisés du matin au soir par les médias mainstream, ces prêcheurs des temps modernes, qui, sous prétexte d’”informer”, récitent la grande messe de la conformité. C’est un joli tableau, tout ça : pendant qu’on s’évertue à sauver les arbres, Big Pharma fait des ronds en jouant avec nos petites tensions, avec la bénédiction générale.
En résumé
Avec ces nouvelles directives, Big Pharma a trouvé la poule aux œufs d’or. En abaissant les seuils de traitement, ils s’assurent un joli jackpot de 40 à 60 milliards d’euros supplémentaires chaque année. Et ça, mes amis, ce n’est que la cerise sur le gâteau. Parce que, grâce aux effets indésirables bien connus, aux nouvelles maladies soigneusement semées, et à ce biotope médical qu’ils ont chaotiquement arrosé, c’est un cercle vicieux qui tourne sans fin, un jackpot perpétuel qui enrichit encore et toujours leurs actionnaires et les fonds de pension qui leur servent de complices.
Des millions de gens qui, hier encore, vivaient tranquillement sans se soucier de tout ça deviennent des patients à vie. Des bons petits clients, fidèles et bien dociles, qui viennent nourrir cette immense machine à cash. Le résultat ? Plus de pilules, plus de traitements, et évidemment, plus de profits. Mais, qu’est-ce qu’on y gagne vraiment ? Moins de vie, moins de santé, moins de liberté. Une belle réussite… du côté de ceux qui vendent les pilules, évidemment, pas pour ceux qui les avalent.
Et la boucle est bouclée : on commence par une pilule, puis une autre pour atténuer les effets secondaires de la première, et encore une autre pour corriger les dégâts de la seconde… Et c’est exactement ce que veut Big Pharma, ce labyrinthe médical sans issue. Une fois qu’ils vous ont attrapés, ils ne vous lâchent plus. Tout ça, bien sûr, avec la bénédiction de la “communauté scientifique”, de ces experts qui, ô surprise, reçoivent des financements de… devinez qui ? Eh oui, des mêmes qui fabriquent ces jolis petits cachets.
La santé publique ? Mais c’est une farce ! Le vrai objectif, c’est de faire monter le chiffre d’affaires. Et si, en passant, on doit transformer la société en une gigantesque pharmacie à ciel ouvert, alors tant pis. Tant que le tiroir-caisse sonne, le reste n’a pas vraiment d’importance, n’est-ce pas ?
Source:
Qui illustrent les problématiques des seuils de pression artérielle, l’influence de l’industrie pharmaceutique, et la médicalisation excessive :
- Étude sur la révision des seuils de pression artérielle :
- American College of Cardiology (ACC) / American Heart Association (AHA) 2017 Hypertension Guidelines. Ces lignes directrices ont été parmi les premières à abaisser les seuils de pression artérielle systolique à 130 mm Hg, ce qui a eu un impact significatif sur la définition de l’hypertension. Vous pouvez trouver un résumé des recommandations sur le site du Journal of the American College of Cardiology (JACC) ou directement sur le site de l’ACC.
- https://www.jacc.org/
- Critiques de la médicalisation et influence de Big Pharma :
- Journal of the American Medical Association (JAMA) : Plusieurs articles académiques dans JAMA discutent de l’influence de l’industrie pharmaceutique sur la définition des seuils de maladie, en particulier autour de l’hypertension. Cherchez des articles sur la “médicalisation” et l’impact de Big Pharma.
- https://jamanetwork.com/
- Rapport sur les conflits d’intérêts et le rôle de l’industrie pharmaceutique :
- BMJ (British Medical Journal) a publié de nombreux articles sur les conflits d’intérêts impliquant les sociétés pharmaceutiques et les comités de rédaction des directives. Par exemple, vous pouvez rechercher des articles sur l’influence de l’industrie pharmaceutique sur les recommandations médicales.
- https://www.bmj.com/
Ces sources apporteront de la crédibilité à notre article en démontrant que les changements de seuils d’hypertension sont souvent motivés par des intérêts financiers, et que l’influence de l’industrie pharmaceutique sur les recommandations médicales est une préoccupation réelle et documentée.