
La lettre de l’association REACTION 19, adressée au Directeur de la CNAM (Caisse Primaire de l’Assurance Maladie), critique la campagne de vaccination COVID-19 et exige davantage de transparence.
Critique principale : REACTION 19 reproche à la CNAM une communication jugée trompeuse concernant l’efficacité et la sécurité des vaccins COVID-19. L’association pointe un manque de transparence et de preuves scientifiques pour étayer les affirmations avancées.
- Demande de clarification sur l’efficacité vaccinale : La lettre critique l’absence de précisions sur les vaccins employés et exige des études validant les affirmations sur l’efficacité et la durabilité de la protection.
- Préoccupations sur les effets secondaires : REACTION 19 souligne que la CNAM minimise les effets secondaires graves, tels que la myocardite et la péricardite, associés au vaccin Comirnaty de Pfizer-BioNTech, réclamant une information complète en vertu du principe de précaution.
- Justification des bénéfices annoncés : L’association conteste l’affirmation selon laquelle la vaccination réduit les formes graves et les hospitalisations, arguant qu’aucune étude concluante n’étaye ces effets pour les vaccins récents.
- Demande d’arrêt des communications potentiellement trompeuses : Sur la base du Code de la consommation, REACTION 19 demande à la CNAM de cesser toute communication qui pourrait induire les assurés en erreur.
- Références aux articles du Code de la Santé Publique : La lettre s’appuie sur l’article L.1111-2 du Code de la santé publique, qui impose une information loyale, claire et appropriée au patient, ainsi que sur l’article L.4121-1, qui engage les autorités sanitaires à garantir la sécurité des soins et à informer correctement sur les risques et bénéfices des traitements. REACTION 19 invoque également le principe de précaution, inscrit à l’article 5 de la Charte de l’environnement, pour demander une communication transparente et conforme aux exigences légales.
En conclusion, l’association menace de poursuites judiciaires si les demandes de transparence ne sont pas satisfaites, dénonçant une potentielle atteinte à la sécurité des assurés.