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Synthèse des Pages de 301 à 375 sur 520 du Rapport du Congrès Américain

Synthèse des Pages de 301 à 375 sur 520 du Rapport du Congrès Américain:

Dans cet Article:

  • Profit, Manipulations Scientifiques et Trahisons Politiques au Détriment de l’Humanité
  • Opération Warp Speed (OWS) ?
  • Trahisons, Manipulations et Profit : La Gestion Française du COVID-19 Mise à Nu
  • PDF : Traduction Reaction19, du Rapport du Congrès Américain de décembre 2024
  • PDF : Original, du Rapport du Congrès Américain de décembre 2024

Profit, Manipulations Scientifiques et Trahisons Politiques au Détriment de l’Humanité

I. “Le succès” de l’Opération Warp Speed (OWS)

  1. Investissements massifs et accélération sans précédent :
    • Budget alloué : 10 milliards de dollars.
    • Objectif : Développer et distribuer des vaccins COVID-19 en un temps record.
    • Résultat : Autorisation du premier vaccin le 11 décembre 2020, moins de 7 mois après l’annonce de l’OWS, contre un délai moyen de 4 ans pour les vaccins traditionnels.
  2. Stratégies clés :
    • Fabrication parallèle et essais cliniques combinés : Réduction significative des délais grâce à des approches non conventionnelles.
    • Diversité des plateformes : Soutien initial à 6 candidats vaccins utilisant 3 technologies principales (ARNm, vecteur viral, protéine recombinante).
    • Distribution rapide via un partenariat public-privé avec des logisticiens expérimentés.
  3. Impact immédiat :
    • D’après les NIH, environ 140 000 vies sauvées aux États-Unis entre décembre 2020 et mai 2021.
    • Le Dr Anthony Fauci a salué l’OWS comme un “grand succès”.
  4. Critiques :
    • Méfiance politique : Déclarations sceptiques de Joe Biden et Kamala Harris en 2020, accusant l’administration Trump de politiser les vaccins, ont miné la confiance publique.
    • Objectifs non atteints : Seulement 6,7 millions de doses administrées avant fin 2020, loin des 20 millions initialement promis.
  5. Défauts structurels :
    • Infrastructure d’essais cliniques insuffisante : Janet Woodcock a souligné l’absence de base solide pour produire des données fiables aux États-Unis, exacerbant les défis pour les traitements et vaccins.

II. La décision sur les rappels de vaccins et les interférences politiques

  1. Contexte réglementaire et bureaucratique :
    • Les recommandations vaccinales sont généralement élaborées par des comités indépendants : VRBPAC (FDA) et ACIP (CDC).
    • Traditionnellement, le directeur du CDC suit les recommandations de l’ACIP.
  2. Annonces précipitées par l’administration Biden :
    • 18 août 2021 : Le président Biden annonce des rappels pour tous les Américains dès septembre, avant que la FDA ou le CDC n’aient achevé leurs examens scientifiques.
    • Des cadres de la FDA, comme le Dr Marion Gruber et le Dr Philip Krause, ont exprimé leur désaccord face à la pression politique, démissionnant en signe de protestation.
  3. Études scientifiques et inquiétudes :
    • Article publié dans The Lancet par 18 experts, y compris Gruber et Krause :
      • Manque de données justifiant les rappels pour la population générale.
      • Risques de myocardite et d’autres effets secondaires potentiels.
      • Danger pour l’acceptation publique des vaccins si des rappels inutiles causent des effets secondaires significatifs.
  4. Décision controversée du CDC :
    • Le 17 septembre 2021, le VRBPAC recommande les rappels pour :
      • Les 65 ans et plus.
      • Les personnes à risque élevé de formes graves.
      • Mais pas pour les travailleurs en milieu à risque.
    • Le 23 septembre 2021, l’ACIP suit cette recommandation.
    • 24 septembre 2021 : La directrice du CDC, Rochelle Walensky, ignore l’ACIP et étend les rappels aux travailleurs à haut risque, suscitant des critiques pour avoir sapé le processus scientifique.
  5. Pressions politiques et conséquences :
    • Les annonces prématurées de Biden ont mis une pression indue sur la FDA et le CDC.
    • Décision qualifiée d’”émotionnelle” par des membres de l’ACIP, qui craignaient des conséquences sur la confiance publique.

Points sensibles et critiques :

  1. Politisation du processus scientifique :
    • Les déclarations de Biden et Harris en 2020 ont alimenté la méfiance initiale envers les vaccins, tandis que leurs annonces en 2021 ont pressuré les agences scientifiques.
    • Rochelle Walensky a ignoré les avis d’experts pour aligner les recommandations sur les objectifs politiques de l’administration.
  2. Incohérences scientifiques :
    • Décisions sur les rappels basées sur des données insuffisantes.
    • Manque de coordination entre la FDA, le CDC et la Maison-Blanche.
  3. Effets à long terme :
    • Perte de confiance dans les autorités sanitaires.
    • Départs de cadres scientifiques expérimentés (Gruber, Krause), soulignant une fracture interne.

Tableau récapitulatif :

AspectSuccès/ProblèmesConséquences
OWSDéveloppement rapide (7 mois), 140 000 vies sauvées, selon les NIHMéfiance due à la politisation (Biden/Harris)
Rappels vaccinauxDécisions précipitées, manque de données solidesDéparts de scientifiques, perte de confiance
Interférence politiquePression sur la FDA et le CDCProcessus scientifique compromis

Cette analyse critique met en lumière l’équilibre fragile entre urgences sanitaires et intégrité scientifique, compromis par des décisions politiques précipitées et des annonces mal coordonnées. Les conséquences sur la confiance publique pourraient affecter durablement la gestion des futures crises sanitaires.

III. L’examen accéléré de la demande d’autorisation de mise sur le marché de produits biologiques (BLA) de Pfizer

  1. Un processus d’examen précipité :
    • La première approbation complète (COMIRNATY) a été délivrée le 23 août 2021, soit 255 jours après l’autorisation d’urgence (EUA), couvrant plus de 360 millions de doses distribuées.
    • Un processus accéléré inhabituel :
      • Temps normal pour une BLA : 12 mois.
      • Temps pour la BLA Pfizer : moins de 4 mois après soumission finale.
    • Pressions internes documentées : Le Dr Gruber et le Dr Krause ont averti que cette accélération risquait de compromettre la rigueur scientifique et de miner la confiance publique.
  2. Interférences politiques :
    • Objectifs politiques : Des discussions internes ont révélé que l’approbation rapide était motivée par l’intention de faciliter les mandats de vaccination (étatiques et fédéraux).
    • Mise à l’écart des experts :
      • Le Dr Gruber et le Dr Krause, principaux experts, ont été écartés sous prétexte de charges de travail ou d’absence.
      • Décision prise par Janet Woodcock, qui a transféré l’examen au Dr Marks.
  3. Mandats de vaccination :
    • Des discussions entre les responsables de la FDA ont lié l’approbation complète aux mandats de vaccination, ce qui a soulevé des inquiétudes sur l’indépendance de la FDA.
    • Le 24 août 2021, le lendemain de l’approbation, le ministère de la Défense a imposé les vaccinations obligatoires pour les militaires.
  4. Manque de transparence :
    • Le Dr Woodcock a admis des communications avec la Maison Blanche sur l’approbation, mais a refusé de détailler ces échanges.
    • La précipitation a conduit à des incohérences dans l’évaluation des risques, notamment sur les effets secondaires tels que la myocardite.

IV. L’immunité naturelle ignorée malgré son efficacité prouvée

  1. Preuves scientifiques solides :
    • Études internationales (Italie, Qatar, USA) :
      • L’immunité naturelle offrait une protection prolongée contre les réinfections, comparable à celle de deux doses de vaccins ARNm.
      • Étude du Lancet (février 2023) : Protection élevée (>78 % pour les souches Alpha, Bêta, Delta) jusqu’à 40 semaines après infection.
    • Immunité naturelle efficace contre les formes graves pour toutes les variantes, y compris Omicron.
  2. Exclusion des politiques sanitaires :
    • Ignorance des 91 millions d’Américains ayant acquis une immunité naturelle.
    • Refus de considérer cette immunité dans le cadre des politiques publiques ou des mandats vaccinaux.
  3. Répression des opinions dissidentes :
    • La Déclaration de Great Barrington (octobre 2020), qui proposait une stratégie de protection ciblée, a été largement discréditée et qualifiée de “marginale” sans débat scientifique.
    • Courriel du Dr Francis Collins (NIH) au Dr Fauci demandant une “publication rapide et dévastatrice” contre cette déclaration.
  4. Conséquences durables :
    • Une hostilité généralisée envers les opinions divergentes a affaibli le débat scientifique.
    • Perte de confiance dans les institutions publiques, aggravée par une gestion autoritaire de la communication scientifique.

Points sensibles et critiques :

  1. Politisation flagrante des décisions scientifiques :
    • L’approbation accélérée de la BLA de Pfizer visait à soutenir un agenda politique, comme le confirment les témoignages de Gruber et Krause.
  2. Déni de l’immunité naturelle :
    • Ignorance des données scientifiques établies sur l’immunité acquise, malgré leur reconnaissance internationale.
    • Répression active des alternatives, notamment via des pressions exercées sur les médias et les plateformes numériques.
  3. Erosion de la confiance publique :
    • La précipitation et les motivations politiques ont miné la crédibilité des agences de santé publique (FDA, CDC).
    • Les politiques rigides et unilatérales ont contribué à une polarisation sociétale accrue.

Tableau récapitulatif des constats

AspectObservationsConséquences
Examen de la BLA PfizerAccélération injustifiée sous pression politique. Mise à l’écart des experts critiques (Gruber, Krause).Perte de rigueur scientifique, adoption précipitée de mandats controversés.
Immunité naturellePreuves solides mais exclues des politiques sanitaires.Stratégies de vaccination peu nuancées, absence de reconnaissance de l’immunité naturelle.
Débat scientifiqueRépression des opinions alternatives (e.g., Déclaration de Great Barrington).Climat d’hostilité et méfiance envers les institutions publiques.
Mandats de vaccinationLien direct entre accélération de l’approbation et mandats étatiques/fédéraux.Érosion de la liberté individuelle et du consentement éclairé.

Les décisions entourant l’approbation des vaccins et la gestion de l’immunité naturelle ont révélé une politisation excessive des agences scientifiques. En sacrifiant la rigueur et la transparence sur l’autel de l’urgence politique, ces choix ont compromis la crédibilité de la santé publique. Cette gestion pourrait avoir causé des dommages durables à la confiance publique, tout en entravant la capacité à gérer efficacement de futures crises sanitaires.

V. Mandats de vaccination COVID-19 : Une approche contre-productive et scientifiquement douteuse

Les mandats de vaccination COVID-19, bien qu’adoptés pour réduire la transmission et protéger la population, ont souvent manqué de fondements scientifiques solides et ont engendré des conséquences négatives significatives.

V. Points clés et interventions notables

  1. Absence de fondement scientifique clair :
    • Dr. Vinay Prasad (Université de Californie à San Francisco) a souligné que les mandats médicaux “sont inadmissibles s’ils n’apportent pas d’avantages à des tiers.”
    • Étude du Lancet (février 2023) : l’immunité naturelle confère une protection équivalente à deux doses d’un vaccin ARNm, remettant en question l’obligation pour les individus naturellement immunisés.
  2. Conséquences sociales et économiques :
    • Dr. Kevin Bardosh (Université de Washington) : Les mandats ont érodé la confiance publique et renforcé les divisions sociales, selon son témoignage lors de l’audition du 27 juillet 2023.
    • Anthony Fauci, dans une interview, a admis tardivement que l’imposition de mandats avait engendré une “lassitude” du public envers les obligations sanitaires.
  3. Impact sur la préparation militaire :
    • Le Major General James O. Eifert (Garde nationale de Floride) a affirmé que les politiques vaccinales avaient affaibli la sécurité nationale, en éloignant des militaires expérimentés à cause de leur statut vaccinal.

Tableau 1 : Impacts des mandats de vaccination COVID-19

SecteurConséquences principales
Santé publiqueDéfiance accrue envers les institutions, hésitation vaccinale pour d’autres maladies.
Forces arméesSéparation de 8 000 militaires ; déficit de recrutement (objectif manqué de 25 % en 2022).
ÉducationPénurie accrue de personnel éducatif, notamment dans les régions défavorisées.
ÉconomieLicenciements massifs ; atteintes aux libertés individuelles ayant impacté la productivité dans certains secteurs.

VI. Vaccins COVID-19 : Une sécurité globalement affirmée, mais des effets indésirables et une surveillance insuffisante

Malgré une efficacité prouvée pour réduire les formes graves de la maladie, les vaccins COVID-19 ont engendré des effets indésirables rares mais notables. La gestion de ces effets a été entravée par des systèmes de surveillance insuffisants et une transparence limitée.

Points critiques et noms associés :

  1. Lacunes dans la pharmacovigilance :
    • Dr. Janet Woodcock (ancienne commissaire par intérim de la FDA) a admis que les systèmes de surveillance comme le VAERS étaient sous-dimensionnés, avec des retards dans le traitement des données.
    • Les retards des CDC et FDA ont empêché une identification rapide des risques de myocardite chez les jeunes hommes, alors qu’Israël les avait déjà signalés en mai 2021.
  2. Système V-Safe :
    • ICAN (Informed Consent Action Network) a publié des données montrant que 7,7 % des utilisateurs de V-Safe avaient signalé des effets nécessitant une intervention médicale, soulevant des inquiétudes sur le sous-traitement des données collectées.
  3. Effets neurologiques et reconnaissance tardive :
    • Dr. Paul Offit, expert en vaccins, a critiqué le manque de suivi rigoureux pour les effets secondaires rares mais graves, notamment les symptômes neurologiques.

Tableau 2 : Résultats de la surveillance des effets indésirables des vaccins COVID-19

SystèmePoints faibles identifiés
VAERSSurmené par 1,8 million de signalements (38 068 décès déclarés, non confirmés comme causalement liés).
V-SafeCollecte de données massive mais partiellement exploitable ; manque de transparence sur les résultats.
CDC & FDARéaction tardive face à des signaux clairs (e.g., myocardite reconnue seulement après des alertes israéliennes).

Tableau 3 : Événements indésirables reconnus dans les rapports du VAERS

Effet indésirableNombre de signalements (2020-2024)Proportion relative aux autres vaccins (1990-2024)
Myocardite/Myopéricardite216 646~10 fois plus élevé que pour les vaccins non-COVID.
Décès (tous types)38 068Inégalé pour un laps de temps aussi court.
Hospitalisations216 646Volume élevé, bien que non systématiquement attribués.

Les mandats de vaccination ont souvent ignoré des éléments fondamentaux comme l’immunité naturelle et la nécessité d’une approche individualisée. Ces politiques, bien qu’adoptées dans l’urgence, ont engendré une défiance publique croissante, des divisions sociales et des atteintes significatives aux secteurs stratégiques, notamment l’armée et la santé.

D’autre part, la gestion des effets indésirables a montré les limites des systèmes actuels de pharmacovigilance. Des lacunes importantes, notamment dans la transparence et l’efficacité, ont miné la confiance dans la vaccination, compromettant ainsi la préparation pour de futures pandémies. Les témoignages de Dr. Kevin Bardosh, Dr. Janet Woodcock, et Major General Eifert, ainsi que les études du Lancet et d’ICAN, illustrent la nécessité d’une réforme substantielle des approches vaccinales et de pharmacovigilance pour restaurer la confiance publique et institutionnelle.

VII. Insuffisance des systèmes d’indemnisation en cas de préjudice lié aux vaccins COVID-19

Tableau comparatif des programmes d’indemnisation VICP et CICP

CaractéristiquesCICP (Countermeasures Injury Compensation Program)VICP (Vaccine Injury Compensation Program)
Délais de dépôt1 an après l’administration ou la reconnaissance d’une blessure3 ans pour les blessures, 2 ans pour les décès
Type de blessure couvertBlessures graves ou décès liés à une contre-mesure spécifiqueBlessures graves, hospitalisation, effets prolongés ou décès
FinancementFonds alloués par le gouvernementFonds d’indemnisation alimenté par une taxe d’accise sur les vaccins
ProcédureProcessus administratif (HRSA)Processus judiciaire devant la U.S. Court of Federal Claims
Frais juridiques couvertsNonOui, sous conditions
Recours en cas de rejetRéexamen administratif uniquementRecours judiciaires possibles

Données sur les demandes d’indemnisation pour les vaccins COVID-19 (CICP)

Statut des demandes (au 1er août 2024)Nombre
Réclamations déposées13 520
Réclamations en cours ou en attente10 082
Réclamations examinées3 438
Réclamations indemnisées18
Réclamations rejetées3 373

Détail des indemnisations pour les vaccins COVID-19 (CICP)

Contre-mesureBlessureMontant de l’indemnité (USD)
Vaccin COVID-19Myopéricardite8 962
Vaccin COVID-19Myocardite4 990
Vaccin COVID-19Myocardite370 376
Vaccin COVID-19Anaphylaxie2 020
Vaccin COVID-19Syndrome de Guillain-Barré3 546

Problèmes critiques :

  • Arriérés et délais : Plus de 10 000 demandes en attente. À un rythme de 90 décisions par mois, il faudrait près de 10 ans pour traiter l’arriéré actuel.
  • Faibles indemnisations : L’indemnité moyenne pour les vaccins COVID-19 est d’environ 4 207 USD, contre une moyenne de 468 000 USD pour le VICP.
  • Manque de transparence : Les raisons des décisions du CICP ne sont pas rendues publiques.

Témoignages significatifs :

  1. Cody Flint : Pilote agricole, il a subi une augmentation de la pression intracrânienne après la vaccination. Sa demande a été rejetée malgré des preuves médicales solides.
  2. Renée Gentry : Directrice de la Vaccine Injury Litigation Clinic, a critiqué le CICP, affirmant qu’il “n’offre guère plus que le droit de déposer une plainte et de la perdre”.

VIII. L’érosion de la relation médecin-patient durant la pandémie

Impact des politiques gouvernementales sur la médecine

  1. Consentement éclairé compromis :
    • Les vaccins COVID-19 distribués sous autorisation d’urgence (EUA) n’ont pas requis de consentement éclairé standard. Les patients ont reçu des fiches d’information simplifiées.
    • Janet Woodcock (FDA) : “L’EUA n’exige pas de consentement éclairé.”
  2. Vaccination obligatoire :
    • Ignorance des spécificités médicales (immunité naturelle, état de grossesse).
    • Imposition de décisions sans consultation des médecins, sapant la relation patient-médecin.
  3. Administration hors cadre médical :
    • Les pharmacies et centres de vaccination ont souvent remplacé les cabinets médicaux, éloignant les patients de leurs médecins habituels.
    • L’American Medical Association (AMA) a critiqué cette tendance, arguant que cela compromet la santé à long terme des patients.

Prescription hors AMM : diabolisée et entravée

MédicamentUsage contestéRéactions du gouvernement
IvermectineTraitement potentiel du COVID-19Campagne médiatique et tweet de la FDA : “Vous n’êtes pas un cheval.”
HydroxychloroquineTraitement potentiel du COVID-19Restrictions sur les prescriptions, censure des médecins.

Témoignages significatifs :

  1. Dr Jerry Williams (Neurologue) :
    • A prescrit de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine en usage hors AMM pour traiter des patients atteints de COVID-19.
    • A rencontré une résistance croissante des pharmacies et des conseils de pharmacie, entravant la relation médecin-patient.
  2. Dr Jeffrey Singer :
    • A plaidé pour le respect de l’autonomie des médecins dans les prescriptions hors AMM.
    • A souligné l’importance de ces pratiques pour le progrès scientifique et clinique.

Constats éthiques et bioéthiques

  1. Violation des principes bioéthiques :
    • Les mandats de vaccination ont ignoré l’autonomie des patients, provoquant des résistances psychologiques (“réactance”).
    • Les politiques coercitives ont alimenté les divisions politiques et sociales.
  2. Attaques contre la liberté d’expression médicale :
    • Des médecins ont été censurés, licenciés ou poursuivis pour avoir exprimé des réserves sur les vaccins ou les traitements.
  3. Érosion de la confiance dans la médecine :
    • Les politiques coercitives et les discours polarisants ont saccagé la relation médecin-patient, une pierre angulaire de la médecine.

Synthèse et recommandations

Problèmes identifiésRecommandations prioritaires
Insuffisance des indemnisations pour les préjudices vaccinauxRéformer le CICP ou intégrer les vaccins COVID-19 au VICP pour plus de transparence.
Érosion de la relation médecin-patientRenforcer l’autonomie des médecins et protéger leurs décisions face aux ingérences politiques.
Politisation des traitements hors AMMDépolitiser les pratiques médicales et promouvoir un dialogue scientifique ouvert.
Manque de consentement éclairéIntroduire des normes rigoureuses même pour les produits sous EUA.

Ces réformes sont essentielles pour restaurer la confiance dans le système de santé et mieux préparer le pays à de futures crises sanitaires.


Opération Warp Speed (OWS) ?

Une prouesse scientifique mêlée à une gestion chaotique et controversée, révélant les failles structurelles de la santé publique et les dérives politiques. Si elle a accéléré le développement des vaccins contre la COVID-19, elle a également été entachée de décisions précipitées, d’opacité et de conséquences socio-économiques graves.

Objectifs et promesses : une ambition colossale

  1. Objectif affiché : Développer, produire et distribuer des vaccins et traitements COVID-19 en un temps record, avec une stratégie reposant sur des financements massifs et des partenariats public-privé.
  2. Budget colossal : Plus de 10 milliards de dollars injectés pour accélérer les vaccins et diagnostics.
  3. Engagement : Vacciner 20 millions d’Américains avant la fin de 2020.

Résultats positifs : une prouesse scientifique et logistique

  • Temps record : Le premier vaccin (Pfizer-BioNTech) autorisé en décembre 2020, soit moins de 7 mois après le lancement de l’initiative.
  • Distribution initiale rapide : 6,7 millions de doses administrées avant janvier 2021.
  • Vies sauvées : Selon les NIH, environ 140 000 vies entre décembre 2020 et mai 2021 grâce à une vaccination précoce.

Mais à quel prix ? Un bilan truffé d’échecs et de controverses

1. Politisation massive et perte de confiance

  • Doutes publics alimentés : Joe Biden et Kamala Harris ont ouvertement mis en question la sécurité des vaccins développés sous l’administration Trump, introduisant une méfiance durable dans la population.
  • Annonce prématurée : Trump a promis des résultats avant l’élection de novembre 2020, soulevant des accusations de pressions politiques sur les agences scientifiques.

2. Objectifs non atteints et inefficacité logistique

  • Promesses non tenues : Seuls 33 % des doses promises ont été administrées avant fin 2020, révélant des lacunes dans la planification et la distribution.
  • Inégalités flagrantes : Les zones rurales et marginalisées ont été les dernières à recevoir les vaccins, exacerbant les disparités existantes.

3. Opacité et manquements éthiques

  • Opacité dans la prise de décision : L’absence de transparence dans les essais cliniques et les processus d’approbation a alimenté les théories de complot.
  • McKinsey au cœur des décisions : La firme a été engagée pour conseiller la distribution des vaccins, mais ses recommandations ont souvent favorisé les grandes entreprises pharmaceutiques, alimentant les soupçons de conflits d’intérêts.

4. Effets secondaires minimisés et surveillance insuffisante

  • Manque de pharmacovigilance : Les systèmes comme le VAERS ont été submergés par des signalements d’effets secondaires (1,8 million de rapports), dont beaucoup n’ont pas été correctement investigués.
  • Effets indésirables graves : Les cas de myocardite et de thrombose ont été sous-estimés pendant les premiers mois, entraînant une érosion de la confiance dans les vaccins.

5. Conséquences sociales et économiques catastrophiques

  • Faillites et désastres économiques : Des centaines de milliers de petites entreprises ont fermé leurs portes à cause des politiques imposées pour “gagner du temps” pendant la distribution des vaccins.
  • Drames familiaux : Des millions de familles ont été séparées, empêchées de dire adieu à leurs proches en raison de mesures sanitaires extrêmes.
  • Suicides en hausse : La désocialisation et la pression économique ont entraîné une augmentation alarmante des suicides, aggravée par la méfiance générée par des politiques incohérentes.

Les leçons à tirer : entre succès scientifique et désastre humain

AspectSuccèsÉchecs
Développement scientifiqueVaccins développés en 7 mois, une première mondiale.Essais cliniques précipités et absence de transparence, alimentant la méfiance publique.
DistributionVaccination rapide des populations prioritaires.Inégalités dans l’accès, retard dans les zones rurales et marginalisées.
Effets secondairesRéduction des formes graves chez les populations vaccinées.Minimisation des signaux d’alerte sur des effets graves comme la myocardite, ignorance des appels à renforcer la surveillance.
Gestion politiquePartenariats public-privé efficaces au départ.Politisation extrême (Trump, Biden, Harris), conflits d’intérêts et décisions motivées par des objectifs électoraux.
Conséquences socialesSelon les NIH, sauvetage de vies grâce aux vaccins.Faillites massives, suicides accrus, polarisation sociale et perte de confiance durable dans les institutions publiques et scientifiques.

Une victoire à la Pyrrhus

L’Opération Warp Speed a été un double tranchant. Si elle a prouvé qu’une mobilisation rapide pouvait sauver des vies, elle a aussi révélé les dangers d’une gestion précipitée et politisée. Les conséquences humaines, économiques et sociales ont été gravissimes : une confiance publique ébranlée, une polarisation sociétale accrue, et des millions de drames familiaux causés par des politiques excessives. La précipitation et les motivations électorales ont transformé un triomphe scientifique en un fiasco humain.


Trahisons, Manipulations et Profit : La Gestion Française du COVID-19 Mise à Nu

La gestion de la pandémie COVID-19 en France, largement influencée par les intérêts des grandes multinationales pharmaceutiques comme Pfizer, a révélé une série de décisions politiques et sanitaires fondées sur des manipulations, des omissions cruciales et des choix autoritaires. Derrière le discours officiel sur la protection collective et la “science”, une réalité bien plus sombre se dévoile : des stratégies basées sur des fausses affirmations, un contrôle accru des libertés et une instrumentalisation des institutions publiques au profit du privé.

Vaccins ARNm : Entre Efficacité Déclinante et Narratif Trompeur

L’un des piliers de la campagne vaccinale française reposait sur l’idée que les vaccins ARNm (Pfizer-BioNTech et Moderna) empêchaient la transmission du COVID-19. Or, Pfizer elle-même a admis que son vaccin n’avait pas été testé pour cet objectif avant sa mise sur le marché. Lors d’une audition au Parlement européen en octobre 2022, Janine Small, cadre chez Pfizer, a révélé :

“Non. Nous n’avions pas testé cela. Nous devions vraiment avancer à la vitesse de la science.”

Un Narratif Public Trompeur

  1. Discours officiel : En France, les autorités ont affirmé à maintes reprises que la vaccination était un acte “altruiste” pour protéger les autres, justifiant ainsi le pass sanitaire et les mesures coercitives.
  2. La réalité scientifique : Dès le départ, il était clair que la transmission n’était pas empêchée de manière significative par les vaccins, comme l’ont montré les données ultérieures.

Conséquences Directes

  • Pressions injustifiées sur les non-vaccinés : Marginalisés et stigmatisés, ils ont été privés de leurs droits fondamentaux sur des bases faussement scientifiques.
  • Rappels multiples imposés : Les campagnes successives de vaccination, nécessaires pour compenser l’efficacité déclinante, ont davantage sapé la confiance publique.

Tableau : Contraste entre Discours Officiel et Réalité Scientifique

AspectDiscours PublicRéalité (Reconnaissance Pfizer)
Transmission“La vaccination protège vos proches.”Non testé pour empêcher la transmission.
Solidarité collective“La vaccination est un devoir civique.”Transmission possible même chez les vaccinés.
Rappels multiples“Nécessaires pour maintenir la protection.”Efficacité décroissante nécessitant des rappels.

Manipulation Politique et Omissions Délibérées

La Politisation de la Santé Publique

Le gouvernement français, à l’image de nombreux autres pays, a utilisé un discours alarmiste pour justifier des mesures autoritaires et promouvoir une vaccination de masse, souvent au détriment de la transparence scientifique.

  1. Pass sanitaire et vaccinal :
    • Présentés comme des outils de protection collective, ils ont été imposés alors que la transmission par les vaccinés restait possible.
    • Les non-vaccinés ont été qualifiés de “dangereux”, alimentant des divisions sociales profondes.
  2. Impact sur les libertés individuelles :
    • Suspension de milliers de soignants non vaccinés.
    • Restrictions drastiques sur les déplacements et les activités sociales, basées sur une science incomplète ou biaisée.
  3. Déni de l’immunité naturelle :
    • Ignorance totale des données montrant que l’immunité acquise après infection offrait une protection robuste et durable.
    • Refus d’intégrer cette immunité dans les politiques publiques, comme l’ont pourtant fait certains pays scandinaves.

Un Conflit d’Intérêts Évident

Le rôle des cabinets de conseil comme McKinsey, largement impliqués dans la gestion de la campagne vaccinale française, a soulevé des questions majeures sur l’indépendance des décisions prises. Les liens financiers entre ces cabinets et les laboratoires pharmaceutiques jettent une ombre sur les motivations réelles derrière certaines politiques.

Des Alternatives Ignorées : Le Cas de l’Ivermectine et de l’Hydroxychloroquine

Démonisation des Traitements Alternatifs

Dès le début de la pandémie, des médicaments comme l’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine, bien que soutenus par certaines études préliminaires et des médecins renommés, ont été systématiquement discrédités :

  • Ivermectine : Présentée comme un “médicament pour chevaux” dans des campagnes médiatiques ridiculisantes, malgré son utilisation humaine depuis des décennies et son prix dérisoire.
  • Hydroxychloroquine : Interdite en France après un avis controversé du Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP), malgré des preuves anecdotiques et certaines études montrant un potentiel bénéfique en phase précoce.

Tableau : Gestion des Médicaments Alternatifs

MédicamentUtilisation PotentielleRéactions Officielles
IvermectineTraitement antiviral potentielRidiculisation médiatique, restrictions de prescription.
HydroxychloroquineRéduction des symptômes en phase précoceInterdiction en France, malgré des usages reconnus ailleurs.

Impact Potentiel Ignoré

  • Des études indépendantes ont estimé que l’utilisation précoce de ces traitements aurait pu réduire les hospitalisations et les décès.
  • Les campagnes de désinformation ont empêché un débat scientifique légitime, au profit exclusif des vaccins ARNm.

Effets Secondaires et Responsabilité : Une Surveillance Insuffisante

Effets Indésirables Sous-Estimés

  1. Myocardites et péricardites :
    • Signalées principalement chez les jeunes hommes après les vaccins ARNm.
    • Identification tardive par les autorités sanitaires françaises, malgré des alertes précoces d’autres pays comme Israël.
  2. Données incomplètes :
    • Le système de pharmacovigilance français, bien que robuste, a sous-estimé l’ampleur des effets secondaires.
    • Les signalements de décès ou d’hospitalisations liés aux vaccins restent controversés et souvent minimisés.

Un Bilan Catastrophique : Des Vies, des Familles et une Société Brisées

Drames Humains

  • Des familles privées d’adieux : Les mesures de confinement et d’interdiction des visites dans les hôpitaux ont séparé des proches à des moments cruciaux.
  • Suicides et détresse psychologique : L’isolement et les contraintes sociales ont entraîné une augmentation alarmante des troubles mentaux et des suicides.

Impact Économique

  • Faillites massives : Des secteurs entiers ont été sacrifiés sur l’autel de la crise sanitaire, sans soutien suffisant.
  • Divisions sociales : Les politiques discriminatoires ont creusé les fossés entre les citoyens.

Une Gestion Dictée par le Profit et la Politique

La gestion française de la pandémie COVID-19 illustre une instrumentalisation flagrante de la science pour des objectifs politiques et financiers. L’adoption précipitée des vaccins ARNm, au détriment de solutions alternatives, combinée à des mesures autoritaires, a exacerbé les fractures sociales, économiques et humaines.

Les révélations sur les limites des vaccins, la politisation des décisions, et les conflits d’intérêts mettent en lumière une crise non seulement sanitaire, mais aussi morale et institutionnelle. Pour éviter une répétition de ce fiasco, il est impératif de restaurer la transparence, la responsabilité et l’intégrité dans la gestion des futures crises sanitaires.


PDF : Traduction Reaction19, du Rapport du Congrès Américain de décembre 2024


PDF : Original, du Rapport du Congrès Américain de décembre 2024