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Dans cet Article:

  • Synthèse critique de Reaction19 sur l’évaluation de l’hydroxychloroquine et des décisions gouvernementales pendant la crise COVID-19
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PRÉFACE

Article de Reaction19, inspiré par l’étude percutante de BonSens.info

Synthèse critique de Reaction19 sur l’évaluation de l’hydroxychloroquine et des décisions gouvernementales pendant la crise COVID-19

L’évaluation de l’hydroxychloroquine (HCQ) pendant la crise du COVID-19 s’est rapidement transformée en un débat hautement politisé et économiquement biaisé. Cette molécule, pourtant bien connue et largement utilisée depuis des décennies, a été systématiquement dénigrée, souvent sans base scientifique rigoureuse, au profit de traitements coûteux et de vaccins à ARNm développés dans l’urgence. La France, sous la présidence d’Emmanuel Macron et de ses gouvernements successifs, s’est illustrée par une gestion de crise marquée par des conflits d’intérêts, un autoritarisme aveugle et des décisions qui pourraient être qualifiées de criminelles.

Manipulation scientifique et sabotage des études

Plusieurs erreurs et décisions discutables ont entaché l’évaluation de l’HCQ :

  • Administration trop tardive dans les études officielles : De nombreuses études ont testé l’HCQ sur des patients déjà en phase inflammatoire avancée, alors que son intérêt thérapeutique repose sur une administration précoce.
  • Surdosage toxique dans certains essais : L’étude Recovery a administré des doses excessives d’HCQ, proches des seuils de toxicité, faussant ainsi les conclusions.
  • Rétractation de l’article du Lancet : Une étude massivement médiatisée concluant à la dangerosité de l’HCQ s’est révélée fondée sur des données falsifiées (“LancetGate”), mais son impact a déjà influencé les politiques de santé.
  • Refus de considérer les données favorables : L’IHU de Marseille, sous la direction du Professeur Didier Raoult, a mené une étude observationnelle sur plus de 30 000 patients traités précocement, concluant à une réduction de la charge virale et du taux d’hospitalisation. Ces résultats ont été systématiquement ignorés par les autorités sanitaires françaises, préférant imposer des restrictions liberticides et des traitements inefficaces.

Une stratégie sanitaire au service des grands groupes pharmaceutiques

Les décisions sanitaires ont favorisé des traitements onéreux et difficilement accessibles :

  • Promotion du Remdesivir : Médicament coûteux et inefficace, recommandé puis retiré des protocoles officiels.
  • Mise en avant des vaccins à ARNm : En l’absence de recul, ces vaccins ont été imposés de force à l’ensemble de la population, au mépris total des principes élémentaires de précaution et d’éthique médicale. Non seulement les gouvernements ont occulté la liste croissante d’effets secondaires graves, mais ils ont également caché au grand public une vérité dérangeante : ces vaccins n’empêchaient pas la transmission du virus ! Vaccinés ou non, les personnes infectées restaient contagieuses, rendant la campagne de vaccination de masse non seulement inutile mais aussi une gigantesque manipulation orchestrée par l’industrie pharmaceutique et ses relais politiques.
  • Manipulation des chiffres et slogans trompeurs : une tromperie d’État ? Quand Véran, ministre de la Santé de l’époque, et les médecins attachés commerciaux de Big Pharma ont constaté que la défiance envers les vaccins anti-COVID grandissait, notamment en voyant que les hospitalisations des vaccinés étaient aussi nombreuses que celles des non-vaccinés, ils ont orchestré un mensonge d’ampleur. Pour détourner l’attention de cet échec, ils ont martelé le slogan “oui, mais ça protège des formes graves”, un subterfuge visant à justifier une vaccination massive inefficace. En vérité, la réduction des formes graves n’était pas liée au vaccin, mais bien à l’évolution naturelle du virus, dont les nouveaux variants étaient intrinsèquement moins dangereux que les souches initiales. Cette manipulation grossière a servi à prolonger une politique vaccinale injustifiée et à masquer une catastrophe sanitaire et éthique.
  • Suppression des alternatives abordables : L’HCQ et d’autres molécules comme l’ivermectine ont été systématiquement discréditées, bien qu’elles aient montré une certaine efficacité en traitement précoce.

Un rejet dogmatique de la médecine observationnelle

L’approche du Professeur Raoult et de l’IHU de Marseille s’inscrit dans une tradition médicale où l’observation clinique prime sur les dogmes statistiques. L’obsession pour la “médecine fondée sur les preuves” a conduit à l’abandon de tout traitement précoce au profit d’une approche attentiste, augmentant les hospitalisations et la mortalité. Cette décision, encouragée par l’administration Macron, a causé des milliers de morts évitables.

Un crime d’État au profit de Big Pharma

La crise COVID-19 n’a pas seulement mis en lumière des erreurs, mais bien une manipulation orchestrée à grande échelle par les élites politiques et médicales corrompues. La collusion entre Véran, ministre de la Santé de l’époque, et les médecins devenus de véritables agents commerciaux de l’industrie pharmaceutique, a abouti à des décisions criminelles : suppression de traitements efficaces, promotion de vaccins inefficaces et dangereux, et instrumentalisation de la peur pour imposer un contrôle total de la population.

Cette politique sanitaire a été marquée par une répression autoritaire, où la propagande a remplacé le débat scientifique, où les médecins indépendants ont été censurés et persécutés, et où la santé des citoyens a été sacrifiée sur l’autel du profit. Des milliers de vies ont été perdues non pas à cause du virus, mais à cause des décisions de ceux qui prétendaient nous protéger.

Nous sommes face à un scandale sanitaire sans précédent, un crime d’État qui exige des enquêtes indépendantes, des poursuites judiciaires et des sanctions exemplaires contre ceux qui ont orchestré cette tragédie. L’heure est venue de demander des comptes et de restaurer une médecine au service des citoyens, et non des intérêts financiers.

Une des sources