• Post category:Delépine Juillet 2021
  • Temps de lecture :3 min de lecture
Illustration : Diafoirus père et fils soignant Argan, le malade imaginaire

« Médecins du “malade imaginaire” de Molière, Monsieur Diafoirus et son fils Thomas (“grand benêt nouvellement sorti des écoles, fait toutes choses de mauvaise grâce et à contretemps”), deux cuistres grandiloquents et rétrogrades dont le charlatanisme finit par éclater au grand jour. »

Et comme nos vaccinateurs actuels de toute nature (pharmaciens, vétérinaires, pompiers, ambulanciers, aides-soignants, etc.) dépêchés par le gouvernement, Molière a l’idée de dépêcher son patient chez le pharmacien… Comme quoi on n’invente rien.

« On m’a cru malade, et on m’a dépêché le pharmacien. Je me suis fâché. Un révolté avoir recours à l’apothicaire !

— Mais, monsieur, a fait le Diafoirus, tout le monde se drogue ici. »
(Jules Vallès, L’Insurgé, G. Charpentier, 1908)

Devant la disparition du Sars Cov 2 de France et de Navarre, comme le démontre la surveillance du Réseau sentinelle…

Suite dans le PDF suivant: