Comparaison : Vaccins à ARNm, vaccins muqueux et sprays/sticks nasaux

La domination des vaccins à ARNm dans la lutte contre la COVID-19 révèle une stratégie dictée par des intérêts financiers plutôt que par une recherche scientifique honnête ou une réelle volonté de protéger la santé publique. Alors que les vaccins muqueux et les sprays/sticks nasaux offrent des solutions plus sûres, plus accessibles et plus efficaces dans de nombreux contextes, ils sont volontairement marginalisés pour préserver les profits colossaux générés par les vaccins à ARNm. Cette situation illustre une manipulation systématique des priorités sanitaires par Big Pharma.

Mécanisme d’action : Complexité inutile contre efficacité locale

Vaccins à ARNm :

  • Un pari risqué : Ces vaccins forcent les cellules humaines à produire la protéine Spike, une molécule pathogène reconnue pour sa capacité à provoquer des inflammations, des dommages tissulaires et des troubles immunitaires. Cette diffusion incontrôlée transforme chaque cellule ciblée en usine à antigènes, avec des conséquences imprévisibles.
  • Une logique absurde : Comment prétendre protéger contre une maladie respiratoire tout en laissant le point d’entrée du virus – les muqueuses – complètement vulnérable ?

Vaccins muqueux :

  • Ciblage local intelligent : Ces vaccins stimulent une immunité robuste directement sur les muqueuses respiratoires, empêchant le virus de progresser. Leur mécanisme est simple et précis, éliminant le besoin de manipuler les cellules humaines.

Sprays/sticks nasaux :

  • Action immédiate : Ces produits neutralisent directement les virus au contact des muqueuses grâce à des barrières physiques ou chimiques. Leur efficacité est instantanée, sans nécessiter de réponse immunitaire complexe.

Les vaccins à ARNm représentent une complexité inutile et dangereuse, développée non pour son efficacité mais pour sa capacité à générer des brevets lucratifs. Les vaccins muqueux et les sprays nasaux, en revanche, répondent directement au besoin sans exposer les patients à des risques systémiques, mais restent ignorés car ils ne soutiennent pas la machine à profits de Big Pharma.

Sécurité : Risques graves contre profil irréprochable

Vaccins à ARNm :

  • Un échec en matière de sécurité : Les effets secondaires graves, comme les myocardites, les thromboses et les réactions auto-immunes, ne sont pas des anomalies mais des résultats prévisibles d’une technologie mal conçue. La persistance prolongée de Spike et de l’ARNm dans l’organisme accentue ces dangers.
  • Une exposition inutile : En ciblant tout l’organisme, ces vaccins exposent des tissus non concernés par le SARS-CoV-2, augmentant les risques systémiques.

Vaccins muqueux :

  • Sécurité locale : Agissent exclusivement sur les muqueuses respiratoires, réduisant à néant les risques d’effets secondaires graves. Leur action ciblée est particulièrement adaptée aux populations vulnérables.

Sprays/sticks nasaux :

  • Un modèle de sécurité : Ces produits, composés d’agents simples comme la carraghénane ou l’iodopovidone, offrent une protection locale sans interférer avec les processus biologiques internes.

Les vaccins à ARNm sacrifient la sécurité des patients sur l’autel du profit. Les alternatives locales et sûres comme les vaccins muqueux ou les sprays nasaux sont délaissées parce qu’elles ne permettent pas de breveter des molécules complexes ni de générer des rappels incessants.

Efficacité : Transmission incontrôlée contre barrière immédiate

Vaccins à ARNm :

  • Un échec fonctionnel : Ces vaccins n’empêchent ni l’infection ni la transmission du virus. Ils permettent au SARS-CoV-2 de se multiplier librement dans les voies respiratoires, alimentant ainsi la propagation communautaire.
  • Immunité transitoire : Les anticorps générés chutent rapidement, nécessitant des rappels constants pour maintenir une protection partielle.

Vaccins muqueux :

  • Transmission stoppée à la source : En bloquant le virus dès son entrée, ces vaccins empêchent non seulement l’infection, mais aussi la transmission, offrant une solution durable à la pandémie.

Sprays/sticks nasaux :

  • Protection immédiate : En réduisant la charge virale dans les muqueuses nasales, ces produits diminuent immédiatement la contagiosité des porteurs, asymptomatiques ou symptomatiques.

L’incapacité des vaccins à ARNm à prévenir la transmission révèle leur inadaptation totale face à une pandémie respiratoire. Les vaccins muqueux et sprays nasaux, bien qu’évidemment plus efficaces pour freiner la propagation, sont marginalisés car ils ne génèrent pas de revenus récurrents pour Big Pharma.

Accessibilité et coût : Luxe contre solutions pratiques

Vaccins à ARNm :

  • Coûts astronomiques : Ces vaccins nécessitent une infrastructure logistique complexe (chaîne du froid, seringues, personnel médical formé) et des milliards de dollars pour des campagnes de rappels incessants.
  • Un gouffre économique : Leur coût faramineux grève les budgets publics au profit des entreprises pharmaceutiques.

Vaccins muqueux :

  • Praticité et économie : Faciles à administrer sans seringues ni stockage spécial, ces vaccins sont économiques et accessibles même dans les pays à faibles ressources.

Sprays/sticks nasaux :

  • Une solution pour tous : Peu coûteux et utilisables à domicile, ces produits ne nécessitent ni logistique lourde ni personnel médical.

Les vaccins à ARNm illustrent un modèle économique basé sur la dépendance et la rentabilité maximale. Les alternatives accessibles et peu coûteuses, comme les vaccins muqueux et les sprays nasaux, sont écartées car elles ne permettent pas à Big Pharma de maintenir son emprise financière sur les systèmes de santé.

Motivation industrielle : Profit ou santé publique ?

Vaccins à ARNm :

  • Une stratégie motivée par le profit : Ces vaccins ont été développés et promus avec des milliards de subventions publiques, mais les bénéfices colossaux sont privatisés. Les rappels fréquents assurent des revenus constants pour les industriels.

Vaccins muqueux et sprays nasaux :

  • Une négligence délibérée : Bien que scientifiquement supérieurs dans leur concept, ces produits sont sous-financés car ils ne s’intègrent pas dans un modèle lucratif basé sur des brevets complexes et des marges élevées.

La santé publique est sacrifiée au profit d’un système qui privilégie des solutions rentables mais imparfaites. Big Pharma n’a aucun intérêt à promouvoir des technologies réellement efficaces si elles compromettent ses profits à long terme.

Une arnaque sanitaire globale

Les vaccins à ARNm ne sont pas un triomphe technologique, mais une manœuvre financière déguisée. Leur promotion massive et leur financement excessif masquent leurs failles structurelles, leurs dangers et leur inefficacité face à une pandémie respiratoire.

Les vaccins muqueux et les sprays/sticks nasaux, bien qu’évidemment mieux adaptés, sont ignorés pour la simple raison qu’ils ne correspondent pas au modèle économique de dépendance que Big Pharma impose aux systèmes de santé.

Position finale :
Il est impératif de dénoncer cette exploitation financière qui instrumentalise la santé publique. Les alternatives sûres, efficaces et accessibles doivent être prioritaires, mais cela nécessitera de s’affranchir de l’influence des grands industriels, qui ne cherchent pas à soigner, mais uniquement à maximiser leurs profits.

Ref.: www.mdpi.com/2076-393X/12/11/1281