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Dans cet Article:

  • BigPharma : Manipulation Globale, Pollution et Profits Mafieux
  • Conséquences sur les Maladies Respiratoires, dont la Coqueluche
  • Maladies respiratoires nécessitant un traitement antibiotique
  • L’Impact des Antibiotiques dans l’Alimentation : Preuves et Conséquences Chiffrées

BigPharma : Manipulation Globale, Pollution et Profits Mafieux

BigPharma, pour gagner sur tous les tableaux, utilise des astuces commerciales mafieuses soutenues par l’OMS et les États associés, avec des milliers de lobbyistes manipulant les médias, les éditions médicales, les revues scientifiques et les gouvernements du monde entier. Voici une analyse détaillée de cette situation.

1. Les Antibiotiques Utilisés dans l’Industrie Alimentaire

Création de Résistances Bactériennes

La résistance aux antibiotiques, principalement due à une utilisation excessive dans l’industrie alimentaire, est un problème mondial croissant. Les antibiotiques sont largement utilisés dans l’élevage et l’agriculture pour soi-disant prévenir des maladies, générées par l’emploi de molécules qui ne devraient pas se retrouver dans la nature. Cette utilisation massive contribue à l’émergence de bactéries résistantes, qui peuvent se transmettre à l’homme via la consommation de produits alimentaires contaminés. Plus d’antibiotiques sont utilisés, plus les résistances augmentent, forçant l’invention de nouveaux antibiotiques, ce qui assure des profits continus pour BigPharma.

Pollution des Écosystèmes

Les conséquences désastreuses de la surconsommation d’antibiotiques dans l’industrie alimentaire créent des résistances qui réduisent l’efficacité des antibiotiques, nécessitant constamment de nouvelles molécules qui rapportent encore plus, au détriment de l’environnement et de la santé publique. La pollution des sols et des eaux due à cette pratique reste inexplorée scientifiquement et médiatiquement, posant de graves questions sur l’avenir de l’écosystème de notre planète. Les résistances bactériennes chez les personnes malades ne sont pas dues à une surconsommation de médicaments, mais à l’utilisation massive d’antibiotiques dans l’industrie alimentaire. BigPharma détourne l’attention de ce problème en accusant les médecins de surprescription, tout en profitant des nouveaux traitements ARNm.

2. Invisibilité des Organisations Écologiques dans la Lutte Contre l’Usage des Antibiotiques en Agriculture

Raisons de l’Invisibilité
  • Complexité et Technicité du Sujet : L’utilisation des antibiotiques en agriculture est un sujet complexe et technique, difficile à comprendre pour le grand public. Les subtilités scientifiques rendent les campagnes de sensibilisation moins accessibles et percutantes.
  • Dominance des Intérêts Industriels : Les industries agroalimentaires et pharmaceutiques disposent de ressources financières et médiatiques importantes pour influencer l’opinion publique et les décideurs politiques, minimisant ou discréditant les préoccupations des organisations écologiques.
  • Manque de Visibilité Médiatique : Les médias traditionnels accordent souvent moins d’attention aux problèmes environnementaux complexes par rapport à d’autres sujets plus sensationnels, limitant la couverture médiatique des campagnes sur l’utilisation des antibiotiques.
  • Manque de Coordination et de Collaboration : Les organisations écologiques manquent parfois de coordination entre elles, ce qui limite l’impact collectif de leurs actions. Une approche fragmentée rend leurs messages moins cohérents et puissants.
Profits Financiers pour BigPharma

BigPharma tire un profit considérable de la vente d’antibiotiques à l’industrie alimentaire. Selon des rapports, environ 70 % des antibiotiques vendus aux États-Unis sont destinés à l’élevage animal. Cette demande constante assure des revenus stables et importants pour les entreprises pharmaceutiques. De plus, l’émergence de bactéries résistantes crée un besoin accru pour des antibiotiques plus puissants et coûteux, augmentant ainsi les ventes de ces médicaments de dernière génération.

3. Risque de Résistance aux Antibiotiques dans le Secteur de la Santé

Surprescription d’Antibiotiques

Dans la mesure où BigPharma utilise de façon excessive les antibiotiques dans l’alimentation, la surprescription d’antibiotiques dans le domaine de la santé, malgré des campagnes comme “Les antibiotiques, ce n’est pas automatique”, devient illusoire. Les résistances bactériennes observées chez les patients malades sont souvent dues à l’utilisation massive d’antibiotiques dans l’industrie alimentaire, et non à une surconsommation de médicaments prescrits par les médecins. Cependant, BigPharma préfère accuser les médecins de surprescription pour détourner l’attention de leurs pratiques lucratives dans l’agro-industrie et surtout promouvoir les nouveaux traitements à base d’ARNm.

Profits Financiers via les Traitements ARNm

Les antibiotiques rapportant moins, leur diabolisation permet de promouvoir de nouveaux brevets plus lucratifs. Avec l’augmentation de la résistance aux antibiotiques induite par les politiques de BigPharma, une opportunité s’est présentée pour le développement de nouveaux traitements, notamment les thérapies à base d’ARN messager (ARNm). Ces nouvelles technologies, qui ont gagné en visibilité avec le développement des vaccins contre la COVID-19, offrent une avenue lucrative pour les entreprises pharmaceutiques. Les traitements ARNm représentent une avancée coûteuse, permettant à BigPharma de générer des revenus importants grâce à leur commercialisation et à leurs brevets.

4. BigPharma : Gagnant sur Tous les Tableaux

Industrie Alimentaire
  • Revenus Stables : La vente d’antibiotiques à l’industrie alimentaire représente une source de revenus stable et significative pour BigPharma.
  • Marché Captif : Les éleveurs dépendent des antibiotiques pour maintenir la santé et la croissance de leurs animaux, ainsi que de belles récoltes, créant un marché captif pour les produits de BigPharma.
Secteur de la Santé
  • Résistance : La surconsommation d’antibiotiques apportée par les aliments augmente la résistance bactérienne, nécessitant des médicaments plus puissants et plus chers, ce qui profite, encore et toujours, financièrement à BigPharma.
  • Nouveaux Traitements : La transition vers des traitements soi-disant innovants, malgré les défiances grandissantes, comme les thérapies ARNm offre de nouvelles sources de revenus. Ces nouveaux brevets permettent à BigPharma de fixer des prix élevés et de garantir des marges bénéficiaires substantielles.

Conclusion

Que ce soit par la vente massive d’antibiotiques à l’industrie alimentaire ou par l’introduction de nouveaux traitements médicaux comme l’ARNm, BigPharma reste financièrement avantagé dans tous les domaines. La résistance aux antibiotiques, bien qu’elle représente une crise sanitaire mondiale, offre paradoxalement des opportunités lucratives pour les entreprises pharmaceutiques. Les revenus tirés de la vente d’antibiotiques, combinés à ceux des nouvelles thérapies, assurent à BigPharma une position de gagnant sur tous les fronts. Le slogan “Les antibiotiques, ce n’est pas automatique” devrait, avec toutes ces constatations, être appliqué exclusivement à l’industrie alimentaire. Les enjeux éthiques et sanitaires posés par cette situation soulignent l’importance de régulations plus strictes et d’une vigilance accrue pour protéger la santé publique tout en limitant les excès du profit pharmaceutique.

Mais BigPharma n’est pas là pour soigner, mais pour vendre des produits. Les antibiotiques pour les humains ne rapportant plus rien à cause des brevets passés dans le domaine public, BigPharma s’adapte avec des pratiques et des campagnes de désinformation en accusant les médecins et leurs patients de consommer trop d’antibiotiques. Selon eux, c’est cette surconsommation qui serait la cause de la diminution de leur efficacité. Les nouveaux traitements ARNm, dont les impacts à long terme sont encore inconnus, vont envahir l’environnement de santé publique, générant ainsi encore et toujours des profits financiers pour BigPharma.

La question fondamentale reste : à quel prix ? Les enjeux éthiques et sanitaires sont considérables, et la priorité devrait être de protéger la santé publique et l’environnement plutôt que de maximiser les profits. Il est impératif d’instaurer des régulations plus strictes et d’exercer une vigilance accrue pour limiter les pratiques nuisibles de l’industrie pharmaceutique, appelée BigPharma.

Conséquences sur les Maladies Respiratoires

Les vieux brevets pharmaceutiques sur les molécules, comme celles qui permettent de produire des antibiotiques, ne rapportent plus rien à BigPharma. Ces traitements sont remplacés par des traitements ARMm qui rapportent des milliards. Dans ces conditions, on peut comprendre la diabolisation des antibiotiques pour soigner les humains, alors qu’il n’y a pas de problème pour leur utilisation dans l’industrie alimentaire. Les mensonges des lobbyistes ont été avalés par d’innombrables gouvernements.

L’industrie pharmaceutique a toujours été à la recherche de nouveaux brevets pour maintenir ses profits. Les antibiotiques, bien qu’essentiels pour traiter les infections bactériennes, ne sont plus aussi lucratifs en raison de la fin de leurs brevets. En revanche, les nouveaux traitements comme l’ARMm (Acide Ribonucléique Messager) sont extrêmement rentables, générant des milliards de dollars de revenus.

Cette situation a conduit à une campagne de désinformation visant à réduire l’utilisation des antibiotiques, souvent sous le slogan “Les antibiotiques, ce n’est pas automatique“. Cette campagne, tout en promouvant une utilisation responsable des antibiotiques pour prévenir la résistance bactérienne, cache parfois des intérêts financiers sous-jacents. En effet, les mêmes entreprises n’hésitent pas à utiliser des antibiotiques dans l’industrie alimentaire, où ils contribuent à la croissance rapide des animaux d’élevage, aussi fortement utilisés dans les champs pour des cultures plus rentables, montrant ainsi une double standard mensongère dans leur application.

La diabolisation des antibiotiques pour les humains a eu des conséquences graves, notamment la recrudescence de maladies respiratoires comme la coqueluche. De plus, la gestion du COVID-19 a été critiquée, notamment en France, où l’interdiction de prescrire des antibiotiques a été perçue comme une décision bâclée. Les antibiotiques, bien que n’étant pas efficaces contre les virus, peuvent prévenir les infections bactériennes secondaires chez les patients atteints de maladies virales sévères.

Conséquences sur les Maladies Respiratoires

Les campagnes de désinformation et la promotion des traitements ARMm ont eu plusieurs conséquences :

  1. Recrudescence des maladies respiratoires :
    • La réduction de l’utilisation des antibiotiques a conduit à une augmentation des infections bactériennes secondaires, aggravant les maladies respiratoires comme la coqueluche.
  2. Gestion du COVID-19 :
    • L’interdiction des antibiotiques en France pour traiter les infections secondaires a été largement critiquée, entraînant une gestion perçue comme inadéquate de la pandémie. Bien des vies auraient pu être sauvées.

Conclusion

La recherche de profits par les grandes entreprises pharmaceutiques a conduit à des campagnes de désinformation qui ont des répercussions importantes sur la santé publique. Les antibiotiques, bien qu’essentiels, ont été diabolisés au profit de nouveaux traitements plus lucratifs. Les campagnes de désinformation sur “Les antibiotiques, ce n’est pas automatique” sont une catastrophe de santé publique que nos différents gouvernements n’ont pas su protéger. Il est crucial de réévaluer ces stratégies pour garantir que les décisions de santé publique soient basées sur des preuves scientifiques solides et non sur des intérêts financiers.

Maladies respiratoires nécessitant un traitement antibiotique

Il est important de noter que toutes les maladies respiratoires virales peuvent se transformer en infections bactériennes. Voici quelques-unes des principales :

1. Coqueluche

  • Cause: Bordetella pertussis.
  • Symptômes: Toux violente et spasmodique, suivie d’une inspiration bruyante (chant du coq).
  • Traitement: Antibiotiques comme l’érythromycine ou l’azithromycine.
  • Complications: Pneumonie secondaire, convulsions, encéphalopathie.

2. Pneumonie bactérienne

  • Cause: Bactéries comme Streptococcus pneumoniae, Haemophilus influenzae, Mycoplasma pneumoniae, et Legionella pneumophila.
  • Symptômes: Fièvre, toux avec expectoration purulente, douleurs thoraciques, dyspnée (difficulté à respirer), et fatigue.
  • Traitement: Antibiotiques tels que la pénicilline, les macrolides (comme l’azithromycine), et les fluoroquinolones.
  • Complications: Abcès pulmonaires, pleurésie, septicémie.

3. Bronchite bactérienne

  • Cause: Bien que la bronchite aiguë soit généralement virale, des bactéries comme Streptococcus pneumoniae, Haemophilus influenzae, et Moraxella catarrhalis peuvent être responsables dans certains cas.
  • Symptômes: Toux persistante avec expectoration purulente, fièvre, et malaise général.
  • Traitement: Antibiotiques prescrits si une infection bactérienne est confirmée ou fortement suspectée.
  • Complications: Peut évoluer vers une pneumonie si non traitée correctement.

4. Sinusite bactérienne

  • Cause: Bactéries comme Streptococcus pneumoniae, Haemophilus influenzae, Moraxella catarrhalis.
  • Symptômes: Douleur et pression faciales, congestion nasale, écoulement nasal purulent, parfois fièvre.
  • Traitement: Antibiotiques comme l’amoxicilline-clavulanate.
  • Complications: Infections orbitaires, méningite, ostéomyélite.

5. Pharyngite bactérienne (Angine bactérienne)

  • Cause: Principalement Streptococcus pyogenes (streptocoque du groupe A).
  • Symptômes: Maux de gorge sévères, fièvre, amygdales rouges et enflées, parfois avec des exsudats blancs, et ganglions lymphatiques cervicaux enflés.
  • Traitement: Antibiotiques tels que la pénicilline ou l’amoxicilline.
  • Complications: Scarlatine, abcès péri-amygdalien, rhumatisme articulaire aigu, glomérulonéphrite post-streptococcique.

6. Tuberculose (TB)

  • Cause: Mycobacterium tuberculosis.
  • Symptômes: Toux persistante (parfois avec du sang), perte de poids, sueurs nocturnes, et fièvre.
  • Traitement: Traitement prolongé avec une combinaison d’antibiotiques spécifiques (comme l’isoniazide, la rifampicine, l’éthambutol et la pyrazinamide).
  • Complications: Lésions pulmonaires permanentes, dissémination à d’autres organes (tuberculose extrapulmonaire).

7. Bronchiectasie

  • Cause: Dilatation anormale et permanente des bronches, souvent due à des infections répétées.
  • Symptômes: Toux chronique avec expectoration purulente, infections respiratoires fréquentes.
  • Traitement: Antibiotiques lors des exacerbations aiguës et parfois en prophylaxie pour prévenir les infections récurrentes.
  • Complications: Insuffisance respiratoire, hémoptysie, infections récurrentes.

8. Bronchiolite bactérienne (rare)

  • Cause: Souvent secondaire à une infection virale initiale, causée par des bactéries opportunistes.
  • Symptômes: Difficulté respiratoire, toux persistante, fièvre.
  • Traitement: Antibiotiques si une infection bactérienne est suspectée.
  • Complications: Insuffisance respiratoire aiguë, infections pulmonaires sévères.

9. Abcès pulmonaire

  • Cause: Infections bactériennes, souvent polymicrobiennes, causant une cavité remplie de pus dans le poumon.
  • Symptômes: Toux productive, fièvre, douleur thoracique, perte de poids.
  • Traitement: Antibiotiques à large spectre souvent nécessaires, parfois en combinaison, et drainage si nécessaire.
  • Complications: Septicémie, hémorragie pulmonaire.

Conclusion

Toutes les maladies respiratoires virales peuvent se transformer en infections bactériennes. Une prise en charge antibiotique adéquate et une prévention des infections peuvent aider à réduire ce risque. Si vous avez des bronchites fréquentes ou autres symptômes, il est important de consulter un professionnel de santé pour une évaluation et un traitement approprié.

En résumé, toutes ces maladies respiratoires virales peuvent nécessiter des traitements antibiotiques pour gérer les infections bactériennes et prévenir les complications. Il est crucial de suivre les conseils médicaux pour un diagnostic précis et un traitement approprié.

L’Impact des Antibiotiques dans l’Alimentation : Preuves et Conséquences Chiffrées

La consommation excessive d’antibiotiques dans l’alimentation, pose des problèmes significatifs pour la santé publique. Voici quelques preuves et conséquences chiffrées montrant l’impact de la consommation d’antibiotiques via l’alimentation par rapport aux traitements médicamenteux.

Preuves

  1. Utilisation d’antibiotiques en agriculture :
    • Environ 70 à 80 % des antibiotiques vendus aux États-Unis sont destinés aux animaux d’élevage. En Europe, ce chiffre est également élevé, bien que des réglementations plus strictes aient été mises en place ces dernières années.
    • Selon l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), l’utilisation mondiale d’antibiotiques dans l’élevage devrait augmenter de 67 % d’ici 2030.
  2. Résidus d’antibiotiques dans les aliments :
    • Des études ont montré la présence de résidus d’antibiotiques dans les viandes, le lait et les œufs. Par exemple, une étude de 2017 a révélé que 14 % des échantillons de viande dans certains pays de l’UE contenaient des résidus d’antibiotiques.
    • Les fruits et légumes peuvent également contenir des résidus d’antibiotiques utilisés dans les traitements phytosanitaires.
  3. Résistance aux antibiotiques :
    • L’exposition régulière à des antibiotiques à faibles doses dans les aliments peut favoriser le développement de bactéries résistantes. Selon une étude publiée dans “The Lancet”, l’utilisation d’antibiotiques en agriculture est un facteur majeur de l’augmentation de la résistance aux antibiotiques chez l’homme.
    • Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), environ 50 % des antibiotiques produits dans le monde sont utilisés dans l’élevage animal.

Conséquences

  1. Impact sur la santé humaine :
    • La résistance aux antibiotiques provoquée par l’exposition à des résidus d’antibiotiques dans les aliments peut rendre les infections courantes plus difficiles à traiter. L’OMS estime qu’environ 700 000 décès par an sont dus à des infections résistantes aux antibiotiques, un chiffre qui pourrait atteindre 10 millions par an d’ici 2050 si aucune mesure n’est prise.
    • Les traitements de deuxième ligne, souvent plus coûteux et plus toxiques, deviennent nécessaires lorsque les antibiotiques de première ligne échouent.
  2. Économique :
    • Le coût des infections résistantes aux antibiotiques pour le système de santé est énorme. Aux États-Unis, les coûts directs des soins de santé liés à la résistance aux antibiotiques sont estimés à environ 20 milliards de dollars par an, avec des coûts supplémentaires de 35 milliards de dollars en pertes de productivité.
    • Les éleveurs peuvent également subir des pertes économiques en raison de restrictions sur l’utilisation d’antibiotiques et de la nécessité de mettre en œuvre des pratiques d’élevage plus durables et plus coûteuses.

Conclusion

La consommation d’antibiotiques via l’alimentation contribue de manière significative à la problématique de la résistance aux antibiotiques. Les résidus d’antibiotiques dans les aliments, combinés à une utilisation excessive dans l’élevage, exacerbent cette crise, augmentant les coûts de santé publique et mettant en danger des vies humaines. Pour lutter contre ce problème, il est crucial de renforcer les réglementations sur l’utilisation des antibiotiques dans l’agriculture et de promouvoir des pratiques alimentaires plus sûres et durables.