Dans cet Articles:
- Pourquoi les vaccins échouent-ils selon une étude ?
- Tragédie de la désinformation
- Rappel de quelques déclarations Politiques et Médiatiques: Exiger justice pour les victimes de la gestion erronée des vaccins COVID-19
- Absence d’évaluation par les pairs : Un symptôme de l’influence de Big Pharma sur la recherche scientifique
- PDF PrePrints.org, Traduit en Français, qui est à l’origine de cet Article
- PDF PrePrints.org, Original, qui est à l’origine de cet Article
1. Pourquoi les vaccins échouent-ils selon une étude ?
Selon l’étude, les vaccins contre la COVID-19 et la grippe n’ont pas réussi à réduire les hospitalisations, ce qui soulève de sérieuses questions sur leur efficacité. Les auteurs mettent en avant plusieurs raisons pour expliquer cet échec :
- Absence de différence significative dans les taux de vaccination :
- L’une des principales observations de l’étude est que les pourcentages de personnes vaccinées parmi celles hospitalisées pour la COVID-19 et la grippe étaient presque identiques. Concrètement, cela signifie que le fait d’être vacciné n’a pas semblé offrir une protection efficace contre les formes graves de ces maladies nécessitant une hospitalisation. Dans une situation idéale où les vaccins fonctionnent, on devrait voir une nette différence entre les groupes vaccinés et non vaccinés, avec beaucoup moins de personnes vaccinées se retrouvant à l’hôpital. Le fait que cette différence soit inexistante ou minime indique un possible échec des vaccins à remplir leur rôle principal : prévenir les hospitalisations.
- Efficacité insuffisante des vaccins :
- Les vaccins contre la COVID-19 et la grippe ont été promus comme des outils essentiels pour prévenir les formes graves de ces infections et réduire les hospitalisations. Toutefois, les résultats de cette étude remettent fortement en question cette affirmation. Non seulement les vaccins n’ont pas empêché les hospitalisations, mais l’absence de différence significative entre les groupes vaccinés et non vaccinés suggère que l’efficacité des vaccins pourrait avoir été largement surestimée. Cela pointe vers un problème potentiel dans la manière dont ces vaccins ont été développés, testés ou distribués, remettant en question les stratégies de santé publique qui reposent lourdement sur la vaccination.
- Possibles facteurs de confusion non corrigés :
- Bien que les auteurs de l’étude aient tenté d’ajuster les résultats pour tenir compte de divers facteurs (comme les comorbidités, l’âge, etc.), les résultats n’ont pas montré de changement significatif après ces ajustements. Cela signifie que les vaccins n’ont pas offert la protection attendue, même après avoir pris en compte ces variables. Cette observation suggère que des facteurs de confusion pourraient persister, mais aussi que la conception des études évaluant l’efficacité des vaccins pourrait être insuffisante pour capturer la réalité de leur performance dans des conditions réelles.
- Questions autour de la conception et de l’évaluation des vaccins :
- L’étude soulève également des doutes quant à l’adéquation des vaccins actuels pour prévenir les formes graves de maladies respiratoires comme la COVID-19 et la grippe. Elle met en lumière un problème potentiel : les méthodes traditionnelles de mesure de l’efficacité des vaccins (comme les essais cliniques) pourraient ne pas refléter leur véritable performance dans des contextes réels. En d’autres termes, les essais cliniques pourraient donner une image trop optimiste des vaccins, alors que les résultats réels, une fois les vaccins déployés à grande échelle, pourraient être bien moins positifs. Cela pourrait expliquer pourquoi les vaccins n’ont pas empêché les hospitalisations comme prévu.
- Surévaluation de la protection vaccinale :
- Les vaccins ont souvent été présentés comme une solution clé pour sortir de la pandémie et prévenir les formes graves de grippe saisonnière. Cependant, cette étude suggère que la protection offerte pourrait avoir été surestimée. Cela peut être dû à une combinaison de facteurs, tels que l’évolution rapide des virus (comme les variants de la COVID-19) ou des failles dans la conception des vaccins. Cette surévaluation pose la question de savoir si la confiance placée dans ces vaccins est justifiée, en particulier si des stratégies plus efficaces (comme des traitements ou des mesures de santé publique) pourraient offrir de meilleurs résultats.
L’étude remet en question l’efficacité des vaccins contre la COVID-19 et la grippe pour réduire les hospitalisations. En soulignant l’absence de différence significative entre les personnes vaccinées et non vaccinées hospitalisées, elle suggère que les vaccins pourraient ne pas remplir leur rôle attendu dans la prévention des formes graves de ces maladies. Ces conclusions soulèvent des doutes sur la validité des stratégies de vaccination de masse et suggèrent qu’il pourrait être nécessaire de réévaluer l’utilisation de ces vaccins si leur efficacité ne peut pas être clairement démontrée. Le fait que les vaccins échouent à offrir une protection significative contre les hospitalisations pourrait indiquer que d’autres approches doivent être envisagées pour protéger la population contre ces infections respiratoires.
2. Tragédie de la désinformation
Les laboratoires pharmaceutiques ont présenté leurs vaccins contre le COVID-19 avec des promesses de haute efficacité, y compris contre les formes graves de la maladie, pour obtenir des autorisations d’urgence de la part d’organismes comme la FDA. Cependant, des analyses plus récentes et des documents internes révèlent que certains laboratoires ont manipulé les données ou ont présenté les résultats de manière à maximiser l’apparente efficacité de leurs produits.
Pfizer-BioNTech
En décembre 2020, Pfizer a publié des résultats indiquant que leur vaccin avait une efficacité de 95% contre le COVID-19, y compris contre les formes graves. Cependant, des documents internes publiés plus tard ont montré que cette efficacité était basée sur des critères qui ne tenaient pas pleinement compte des variations dans les populations vulnérables et des effets à long terme. Par exemple, des inquiétudes ont été soulevées concernant la réduction de l’efficacité contre les formes graves à mesure que de nouveaux variants apparaissaient.
Moderna
Moderna, en janvier 2021, a déclaré que son vaccin était efficace à 94,1% contre les formes graves du COVID-19. Cependant, des critiques ont fait valoir que les essais cliniques avaient été menés principalement sur des populations jeunes et en bonne santé, et qu’il n’y avait pas suffisamment de données pour soutenir ces affirmations chez les personnes âgées ou avec des comorbidités, les groupes les plus à risque.
AstraZeneca
AstraZeneca a été critiquée pour sa gestion des essais cliniques et la présentation des données. En mars 2021, la FDA a accusé la société de publier des informations potentiellement obsolètes concernant l’efficacité de son vaccin, ce qui a conduit à une perte de confiance publique. Les essais cliniques ont été marqués par des incohérences dans les dosages et les groupes d’âge, soulevant des questions sur la fiabilité des résultats présentés. De plus, en raison de rapports d’effets secondaires graves, notamment des cas de thrombose, plusieurs pays européens ont temporairement suspendu l’utilisation du vaccin AstraZeneca, et certains, comme le Danemark, ont fini par l’interdire complètement. Ces événements ont amplifié les doutes quant à la transparence et la sécurité du vaccin.
La Révélation des RKI Files :
Ce qui rend cette situation encore plus choquante, c’est la révélation récente grâce aux fuites des “RKI Files” de l’Institut Robert Koch en Allemagne. Ces fichiers internes, qui contiennent des communications entre les autorités sanitaires allemandes et d’autres institutions internationales, montrent que les responsables politiques étaient conscients dès le début de la pandémie que les mesures qu’ils mettaient en place – y compris la promotion des vaccins comme solution miracle – étaient loin d’être aussi efficaces qu’ils le prétendaient publiquement. Les “RKI Files” révèlent que dès les premiers mois de 2020, les autorités savaient que les vaccins, malgré leur utilité potentielle, ne garantissaient pas une protection absolue contre les formes graves du COVID-19, et que les mesures comme les confinements et les restrictions généralisées avaient des effets limités sur la propagation du virus.
Malgré cette connaissance, les gouvernements ont choisi de continuer à promouvoir ces mesures de manière agressive, en grande partie pour éviter les critiques et maintenir le contrôle public, même si cela signifiait tromper la population sur l’efficacité réelle des interventions. Ces révélations soulignent une trahison grave de la confiance publique, où les priorités politiques ont été placées au-dessus de la transparence et de l’honnêteté envers les citoyens.
Complicité des Politiques et Médias :
Les gouvernements, pressés de trouver une solution rapide à la pandémie, ont largement relayé les affirmations des laboratoires sans un examen critique approfondi. En France, par exemple, des figures politiques comme Emmanuel Macron et des ministres ont affirmé avec assurance que les vaccins protégeaient contre les formes graves, souvent sans nuance et sans considérer les incertitudes scientifiques.
Les médias conventionnels ont amplifié ces messages, en particulier des chaînes comme France Télévisions, BFMTV et des journaux comme Le Monde, qui ont relayé sans critique les communiqués de presse des laboratoires et les discours des politiques. Cette complicité médiatique a contribué à façonner une perception publique qui était souvent déconnectée des réalités scientifiques, omettant de discuter des limites, des risques et des incertitudes entourant les vaccins.
En conséquence, au lieu de chercher les meilleures solutions basées sur une analyse équilibrée et transparente, les politiques, avec l’aide des médias, ont imposé un narratif simpliste qui a parfois sacrifié la vérité pour des gains politiques à court terme. Les révélations des “RKI Files” montrent clairement que cette manipulation a laissé de nombreuses questions sans réponse, tout en sapant gravement la confiance du public dans les institutions censées les protéger.
3. Rappel de quelques déclarations Politiques et Médiatiques. Exiger justice pour les victimes de la gestion erronée des vaccins COVID-19
Reaction19 propose ici une analyse sans concession de quelques déclarations de personnalités et d’institutions clés en France, révélant non seulement les erreurs de communication flagrantes, mais aussi les rétractations tardives et les tentatives maladroites de minimisation qui ont suivi. Les citations des principaux responsables, notamment celles du Président Emmanuel Macron, de l’ancien Premier ministre Édouard Philippe, de l’ancien ministre de la Santé Olivier Véran, de l’ex-Premier ministre Jean Castex, du Président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy, ainsi que des médias et journalistes vedettes, sont rappelées pour illustrer comment leur assurance initiale s’est effondrée face à la réalité. Cette gestion de la communication, telle qu’elle apparaît rétrospectivement, pourrait être perçue non seulement comme maladroite, mais aussi potentiellement délibérément trompeuse.
- Emmanuel Macron (Président de la République française) – 12 juillet 2021 et 4 janvier 2022 :
- “La vaccination est notre arme la plus efficace contre ce virus. Elle protège contre les formes graves de la maladie.” (12 juillet 2021)
- “Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc, on va continuer de le faire, jusqu’au bout, les qualifiant implicitement de sous-citoyens. C’est ça la stratégie.” (4 janvier 2022)
- La première déclaration, empreinte d’une assurance trompeuse, s’est révélée être une manipulation délibérée. Les données ultérieures ont montré que les vaccins n’ont pas fourni la protection promise contre les formes graves de manière aussi fiable que le public était amené à le croire. De plus, les récentes révélations des “RKI Files” ont montré que les autorités étaient conscientes que les mesures qu’elles mettaient en place, y compris la promotion des vaccins comme solution miracle, étaient loin d’être aussi efficaces qu’elles le prétendaient publiquement. Macron a utilisé son autorité pour imposer un narratif qui, avec le recul, apparaît davantage comme une stratégie politique que comme une vérité scientifique.
- La déclaration du 4 janvier 2022 est encore plus choquante, où Macron a publiquement exprimé son mépris pour les non-vaccinés, les qualifiant implicitement de sous-citoyens. Cette attitude divisive et coercitive a non seulement polarisé la société, mais a également trahi l’obligation de tout chef d’État de traiter tous les citoyens avec respect et égalité, quelles que soient leurs décisions médicales personnelles. Cette approche punitive a renforcé la stigmatisation des non-vaccinés, aggravant les tensions sociales et sapant davantage la confiance publique.
- Édouard Philippe (ancien Premier ministre) – 28 mai 2020 :
- “La vaccination est un levier essentiel pour éviter les formes graves de la maladie et protéger la population.”
- Cette déclaration précoce reposait sur des conjectures plutôt que sur des preuves solides. Philippe a précipité un discours sécurisant sans attendre de véritables données, trahissant un manque flagrant de rigueur. Dès le début, les autorités étaient conscientes que leurs mesures, y compris la promotion des vaccins, n’étaient pas aussi efficaces que prétendu. En réalité, son discours reflétait une dangereuse improvisation, davantage motivée par des objectifs politiques que par une analyse scientifique rigoureuse.
- “La vaccination est un levier essentiel pour éviter les formes graves de la maladie et protéger la population.”
- Olivier Véran (ancien ministre des Solidarités et de la Santé) – 18 décembre 2020 :
- “Les vaccins sont sûrs, ils ont été testés, et ils nous protègent contre les formes graves du COVID-19.”
- Véran a abusé de son autorité pour propager une confiance injustifiée dans les vaccins, malgré l’absence de preuves solides et durables sur leur efficacité contre les formes graves, surtout à long terme et face à l’évolution des variants. Les “RKI Files” ont révélé que même au niveau international, les responsables savaient que l’efficacité des vaccins était incertaine et que les masques et les confinements étaient plus néfastes qu’utiles. Cette déclaration, censée rassurer le public, a finalement contribué à créer une fausse sécurité. Le manque de transparence sur les incertitudes et les limites des essais cliniques souligne une volonté de manipuler l’opinion publique plutôt que de la protéger avec une information nuancée et honnête.
- “Les vaccins sont sûrs, ils ont été testés, et ils nous protègent contre les formes graves du COVID-19.”
- Jean Castex (ancien Premier ministre) – 28 juillet 2021 :
- “Avec la vaccination, nous nous protégeons tous ensemble des formes graves de la maladie.”
- Castex a délibérément simplifié et exagéré l’efficacité des vaccins pour inciter la population à se faire vacciner, ignorant délibérément les limites évidentes et les incertitudes liées à ces produits. Les autorités savaient que les vaccins ne garantissaient pas une protection universelle contre les formes graves, mais ont choisi de minimiser ces informations pour maintenir le contrôle public. Cette approche paternaliste, qui visait à masquer les doutes et les failles, a finalement érodé la confiance du public. Plutôt que de promouvoir un débat honnête et transparent, Castex a choisi de manipuler les peurs pour obtenir l’adhésion à tout prix.
- “Avec la vaccination, nous nous protégeons tous ensemble des formes graves de la maladie.”
- Jean-François Delfraissy (Président du Conseil scientifique) – 29 mars 2021 :
- “Les vaccins disponibles sont très efficaces pour prévenir les formes graves de COVID-19, y compris face aux variants.”
- Delfraissy a gravement sous-estimé la complexité de l’évolution des variants et l’efficacité réelle des vaccins contre ces derniers. Les “RKI Files” révèlent que même à ce stade, les autorités étaient conscientes des limites des vaccins face aux variants, mais ont continué à diffuser un message excessivement optimiste. Son rétropédalage quelques mois plus tard, en admettant que l’efficacité des vaccins contre les formes graves était moindre que ce qu’il avait annoncé, ne fait qu’aggraver l’impression de manipulation et de manque de transparence. Cette affirmation trop optimiste était déconnectée de la réalité scientifique complexe.
- “Les vaccins disponibles sont très efficaces pour prévenir les formes graves de COVID-19, y compris face aux variants.”
- BFMTV (chaîne de télévision d’information en continu) – 12 janvier 2021 :
- “Les vaccins COVID-19 sont très efficaces pour prévenir les formes graves, une protection dont nous avons tous besoin.”
- BFMTV, en tant que relais médiatique majeur, a amplifié un message simpliste et trompeur, sans examen critique des preuves disponibles. Leur couverture a contribué à ancrer une fausse sécurité dans l’esprit du public, illustrant comment la quête d’audience a primé sur la rigueur journalistique. Les médias, en relayant ces informations non nuancées, ont joué un rôle crucial dans la désinformation massive. En réalité, l’efficacité des vaccins contre les formes graves s’est révélée être plus nuancée et dépendante de plusieurs facteurs, notamment l’apparition de nouveaux variants.
- “Les vaccins COVID-19 sont très efficaces pour prévenir les formes graves, une protection dont nous avons tous besoin.”
- David Pujadas (journaliste vedette, LCI) – 15 février 2021 :
- “Il faut rassurer les Français : les vaccins sont notre meilleure chance de prévenir les formes graves de COVID-19.”
- En tant que journaliste influent, Pujadas a joué un rôle clé dans la diffusion d’un message excessivement rassurant, contribuant ainsi à l’érosion de la vigilance du public. En minimisant les doutes et en exagérant les certitudes sur les bénéfices des vaccins, il a failli à son devoir de fournir une information équilibrée et critique. Pujadas a ignoré les nuances importantes concernant les mesures sanitaires et leur efficacité réelle, notamment face aux variants émergents, ce qui a contribué à une désinformation massive.
- “Il faut rassurer les Français : les vaccins sont notre meilleure chance de prévenir les formes graves de COVID-19.”
- Le Monde (journal) – 20 mars 2021 :
- “Les vaccins sont une percée scientifique majeure, offrant une protection efficace contre les formes graves du COVID-19.”
- Le Monde, journal réputé pour son sérieux, a manqué de rigueur en relayant un message exagéré et infondé. En présentant les vaccins comme une solution infaillible contre les formes graves, le journal a failli à sa mission d’analyse critique, contribuant ainsi à la désinformation généralisée. Cet écart entre l’image d’une presse de référence et la réalité de la couverture médiatique reflète une défaillance grave dans la responsabilité éditoriale.
- “Les vaccins sont une percée scientifique majeure, offrant une protection efficace contre les formes graves du COVID-19.”
- France Télévisions (groupe audiovisuel public) – Janvier 2021 :
- “Les vaccins sont la clé pour éviter les formes graves de COVID-19, et tout le monde devrait se faire vacciner pour se protéger.”
- France Télévisions, un service public censé informer avec impartialité, a fait preuve d’un zèle inquiétant dans la diffusion d’un message qui s’est révélé trompeur. En négligeant de mettre en avant les incertitudes et en minimisant les risques, la chaîne a contribué à une désinformation massive. Les “RKI Files” révèlent que cette assurance publique ne reflétait pas la réalité des discussions internes des groupes scientifiques, où les incertitudes étaient bien connues. Ce manque de discernement et de prudence a renforcé un climat de confiance aveugle, au détriment d’une véritable réflexion critique.
- “Les vaccins sont la clé pour éviter les formes graves de COVID-19, et tout le monde devrait se faire vacciner pour se protéger.”
Ces critiques exposent de manière saisissante l’abîme entre les promesses initiales et la réalité des faits, mettant en lumière non seulement la responsabilité accablante des autorités, mais aussi celle des médias conventionnels et des journalistes vedettes dans la manipulation de la communication autour des vaccins COVID-19. Les révélations des “RKI Files” montrent que les autorités savaient, dès le début, que les mesures et les vaccins qu’elles promouvaient n’étaient pas aussi efficaces qu’elles le prétendaient publiquement. Quant aux médecins de plateaux télévisés, leurs affirmations méritent-elles encore d’être relevées, ou devraient-ils simplement être relégués au mépris qu’ils ont eux-mêmes engendré ?
Aucune amnistie, aucune rémission.
La gestion de la communication autour des vaccins contre le COVID-19, marquée par des déclarations trompeuses et une diffusion massive de fausses assurances et informations, a laissé derrière elle une traînée de souffrances incommensurables. Des millions de personnes ont subi des déchéances, des désillusions, des hospitalisations, des deuils, et d’innombrables préjudices indescriptibles. La justice et l’histoire devront inévitablement passer pour juger et réparer, autant que possible, les torts infligés. Il est impératif que ceux qui ont contribué à cette vaste désinformation, qu’ils soient figures politiques, scientifiques ou médiatiques, soient tenus responsables de leurs actes. Le temps de l’impunité doit cesser, et la vérité, tout comme la justice, doivent triompher pour rendre hommage à toutes les victimes de cette tragédie.
4. Absence d’évaluation par les pairs : Un symptôme de l’influence de Big Pharma sur la recherche scientifique
Critique : L’absence d’évaluation par les pairs et l’influence de Big Pharma sur la recherche scientifique
L’étude publiée sur le site www.preprints.org, qui suggère une inefficacité des vaccins contre la COVID-19 et la grippe, porte une mention importante : “This version is not peer-reviewed”. Cette absence d’évaluation par les pairs, un processus critique dans la validation scientifique, soulève des questions sur la rigueur et la crédibilité de ces résultats. Cependant, cela ouvre également la porte à une réflexion plus large sur l’influence de Big Pharma dans la recherche et la diffusion des connaissances scientifiques.
L’importance de l’évaluation par les pairs
L’évaluation par les pairs est un pilier de la science moderne. Elle permet à des experts indépendants d’examiner, de critiquer et de valider les recherches avant leur publication dans des revues scientifiques reconnues. Ce processus aide à s’assurer que les conclusions d’une étude sont fondées sur des méthodes solides et que les résultats sont interprétés de manière appropriée. Sans cette étape, les études restent dans une zone grise, où leur validité peut être facilement remise en question.
L’impact de Big Pharma sur la recherche scientifique
L’absence d’évaluation par les pairs dans cette étude peut être interprétée comme un indicateur des difficultés que peuvent rencontrer les recherches qui remettent en question des produits pharmaceutiques largement promus. Big Pharma, avec ses vastes ressources financières, exerce une influence considérable sur la recherche scientifique, y compris sur les processus d’évaluation et de publication. Cette influence peut se manifester de plusieurs manières :
- Biais de publication :
- Les études financées par l’industrie pharmaceutique sont souvent plus susceptibles d’obtenir des résultats favorables à leurs produits, car ces études sont parfois orientées pour produire des résultats positifs. Lorsque des recherches indépendantes, comme celle-ci, tentent de publier des conclusions qui contredisent les intérêts de Big Pharma, elles peuvent rencontrer des obstacles supplémentaires pour passer par les canaux traditionnels d’évaluation et de publication.
- Pressions sur les revues scientifiques :
- Les revues scientifiques peuvent subir des pressions, conscientes ou inconscientes, pour favoriser les études financées par des entreprises pharmaceutiques, en raison des relations financières qui existent entre ces revues et l’industrie (publicités, parrainages, etc.). Cela peut rendre plus difficile la publication d’études critiques, surtout si elles n’ont pas été financées par des sources puissantes.
- Manipulation des résultats et des données :
- Il existe une inquiétude croissante concernant la manipulation potentielle des résultats scientifiques pour servir les intérêts de l’industrie pharmaceutique. Des données peuvent être présentées de manière à minimiser les effets indésirables ou à exagérer les bénéfices, et les études qui ne passent pas par une évaluation indépendante sont plus susceptibles d’échapper à la critique rigoureuse nécessaire pour détecter de telles manipulations.
L’importance de la transparence et de l’indépendance
La mention “This version is not peer-reviewed” doit être prise au sérieux. Cela signifie que l’étude n’a pas encore été soumise à l’examen minutieux d’autres experts du domaine, un examen qui pourrait soit confirmer, soit invalider ses conclusions. Cependant, il est également essentiel de reconnaître que les obstacles auxquels font face certaines recherches, notamment celles qui vont à l’encontre des intérêts de Big Pharma, peuvent être révélateurs des dynamiques de pouvoir au sein du monde scientifique.
En conclusion, l’absence d’évaluation par les pairs ne doit pas être ignorée, mais elle ne doit pas non plus servir d’excuse pour rejeter automatiquement les conclusions de l’étude. Il est crucial de maintenir une vigilance critique face à l’influence de l’industrie pharmaceutique sur la recherche scientifique, tout en appelant à plus de transparence et d’indépendance dans les processus de publication. Le public et la communauté scientifique ont le droit d’accéder à des informations fiables et non biaisées, et cela nécessite une réforme continue des pratiques de financement, de recherche et de publication dans le domaine de la santé.
5. PDF PrePrints.org, Traduit en Français, qui est à l’origine de cet Article
6. PDF PrePrints.org, Original, qui est à l’origine de cet Article
Source : https://www.preprints.org/manuscript/202408.0338/v1