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Inspiré par l’article scientifique « Origine proximale de l’épidémie de grippe aviaire hautement pathogène H5N1 clade 2.3.4.4b et propagation par les oiseaux aquatiques migrateurs » publié sur Longdom. Cet article explore les questions profondes autour des épidémies prétendument naturelles et des intérêts financiers qu’elles peuvent servir.

Maladies Épidémiques Inventées pour le Profit : Santé Publique ou Crime Organisé ?

Depuis quelques décennies, le monde fait face à une montée rapide des épidémies, souvent présentées comme des menaces naturelles inévitables. Mais une question brûlante émerge : dans quelle mesure ces crises sont-elles réellement naturelles, ou bien manipulées et amplifiées pour satisfaire des intérêts financiers ? Derrière la peur des pandémies se cachent des institutions et des industries qui semblent prêtes à sacrifier la santé publique au profit de leurs propres agendas.

La Science du Gain de Fonction : Modifier pour Mieux Profiter ?

Au cœur des inquiétudes, on trouve les recherches dites de « gain de fonction ». Cette pratique consiste à manipuler des virus en laboratoire pour en accroître la virulence et la capacité de transmission. Récemment, un article scientifique intitulé « Origine proximale de l’épidémie de grippe aviaire hautement pathogène H5N1 clade 2.3.4.4b et propagation par les oiseaux aquatiques migrateurs » souligne la possibilité que certaines variantes dangereuses puissent résulter de modifications intentionnelles. Cet article, publié sur le site Longdom, explore comment le virus H5N1 pourrait provenir de laboratoires de recherche, notamment en raison de mutations qui suggèrent une intervention humaine. De telles découvertes alimentent les soupçons concernant la nature et la provenance de ces épidémies, qui arrivent parfois à point nommé pour justifier des interventions sanitaires lucratives.

Les scientifiques impliqués dans ce domaine expliquent que la recherche de gain de fonction permet de mieux anticiper les mutations naturelles et de se préparer à des épidémies. Mais pourquoi amplifier artificiellement des maladies alors que les risques de fuite ou d’accident sont élevés ? Les financements massifs qui soutiennent ces recherches proviennent de gouvernements et d’institutions influentes, notamment des Instituts Nationaux de la Santé (NIH) aux États-Unis et des organisations philanthropiques comme la Fondation Bill & Melinda Gates. Ces institutions, souvent en collaboration avec des universités comme l’Université de Caroline du Nord, jouent un rôle direct dans ces études controversées et sont parfois associées à des entreprises qui profitent directement de la production de vaccins et de traitements.

Vaccins et Suspicion de Manipulation : Quand le Gain de Fonction Soulève des Doutes

Plusieurs vaccins récents ont suscité des questionnements sur la transparence des recherches ayant mené à leur développement, notamment ceux impliqués dans les épidémies de COVID-19, de grippe aviaire, d’Ebola, et de MPOX (anciennement appelé variole du singe).

  • COVID-19 (Pfizer-BioNTech et Moderna) : Les vaccins à ARNm développés pour lutter contre le SARS-CoV-2 ont suscité des débats autour de la nature du virus lui-même. La possibilité que le SARS-CoV-2 soit issu de recherches en gain de fonction menées à Wuhan, avec des financements de NIH et d’autres organismes américains, a renforcé la suspicion autour de l’intervention humaine dans la création du pathogène.
  • Grippe Aviaire H5N1 : Le vaccin contre la grippe aviaire, suite à des flambées de la souche H5N1, est un autre exemple. Des études ont soulevé l’hypothèse d’une manipulation génétique du virus, comme l’explore l’article de Longdom. Cette souche modifiée pourrait être à l’origine de certaines mutations récentes, permettant aux entreprises pharmaceutiques de tirer profit des situations d’urgence sanitaire.
  • Ebola : Lors de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest, des essais cliniques rapides pour des vaccins expérimentaux ont alimenté les doutes sur la manière dont les grandes entreprises pharmaceutiques utilisent les crises sanitaires pour des profits rapides. Des associations entre les fonds de la Fondation Bill & Melinda Gates et des laboratoires privés ont renforcé les soupçons quant aux motivations financières derrière certaines de ces recherches.
  • MPOX (Variole du Singe) : L’épidémie de MPOX a entraîné un déploiement rapide de vaccins, certains issus de recherches antérieures sur les poxvirus, famille de virus incluant la variole. Le MPOX, initialement limité à certaines régions d’Afrique, a soudainement émergé dans plusieurs pays, alimentant les spéculations quant à une possible modification du virus pour augmenter sa propagation. Les campagnes de vaccination, accompagnées de financements rapides, ont de nouveau soulevé des questions sur les motivations sous-jacentes, alors que des effets secondaires ont été signalés parmi les premiers vaccinés.
  • Grippe Porcine (H1N1) : La pandémie H1N1 en 2009 a également suscité des soupçons. Les annonces de pandémie mondiale et l’incitation à la vaccination rapide, initiées par l’OMS, ont profité directement aux entreprises pharmaceutiques. Les liens financiers entre l’OMS et certains de ces laboratoires n’ont fait qu’exacerber les critiques et les accusations de conflits d’intérêts.

Des Épidémies Qui Arrivent « Opportunément » et des Trajets Financiers Flous

Lorsque de nouvelles épidémies apparaissent, une réponse médicale rapide s’organise, souvent orientée vers des solutions brevetées et coûteuses. Les crises sont ainsi souvent suivies de près par l’arrivée de vaccins ou de traitements développés à grande vitesse. Cette course à la solution lucrative fait naître des soupçons : est-il possible que certaines épidémies soient instrumentalisées – voire encouragées – pour maximiser les profits des entreprises et des institutions qui en profitent directement ? Des gouvernements comme celui des États-Unis financent massivement la recherche sur les pathogènes et en contrôlent également les profits, car des laboratoires comme Pfizer et Moderna ont obtenu d’énormes contrats publics pour leurs vaccins COVID-19, tout en s’assurant des marges de bénéfice élevées.

Contrôle de l’Information : La Peur Comme Levier de Pouvoir

Les institutions internationales, censées garantir la sécurité et la santé mondiale, jouent un rôle clé dans la gestion des épidémies. Pourtant, leur indépendance semble compromise, notamment en raison des financements reçus de l’industrie pharmaceutique. Dans le cas des maladies épidémiques, cette proximité entre institutions de santé et laboratoires commerciaux donne naissance à un flux d’information orienté, où la peur est un outil pour justifier des mesures drastiques et rentables. Des gouvernements sont encouragés à investir dans des vaccins et traitements spécifiques, tandis que le public reste dans l’incertitude, dépendant des choix des régulateurs.

Vaccins et Conséquences Tragiques – Quand la Corruption Garantit l’Impunité

Les vaccins, censés représenter une solution pour protéger la population, sont de plus en plus associés à des effets secondaires graves, des complications parfois mortelles, et à un manque flagrant de responsabilité de la part des autorités. De nombreux rapports font état d’effets indésirables graves à la suite des vaccinations, notamment pour des vaccins accélérés comme ceux contre la COVID-19. Ces réactions incluent des inflammations cardiaques, des caillots sanguins, et même des décès, pourtant rapidement écartés des débats publics. Les institutions et gouvernements responsables, eux, échappent systématiquement à toute forme de justice en raison d’un réseau de corruption généralisé et bien établi.

Dans ce contexte, des citoyens se sont tournés vers des figures politiques promettant de défier ce système, comme Donald Trump. Bien que controversé, il a su attirer l’attention de millions d’électeurs désabusés par un système de santé publique perçu comme gangrené par les intérêts financiers et les manipulations. Son discours, appelant à remettre la santé publique au service des citoyens, a résonné auprès de ceux qui cherchaient à rétablir une intégrité que les grandes institutions de santé semblent avoir perdue.

Ainsi, l’urgence est double : protéger la santé des populations, non seulement contre des virus, mais également contre un système où la corruption et les intérêts financiers priment sur le bien-être humain. Tant que cette collusion perdure, la santé publique risque de rester le terrain de jeu de l’industrie pharmaceutique et de ses complices institutionnels, exploitant sans scrupules la peur des épidémies pour remplir leurs coffres et assurer leur impunité.



PDF : Proximal Origin of Epidemic Highly Pathogenic Avian Influenza H5N1 Clade 2.3.4.4b and Spread by Migratory Waterfowl