
Dans cet article:
- L’OMS : L’Opéra Bouffe des Pandémies
- Méta-synthèse de l’article “L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) : une machine à imprimer de l’argent potentiellement mortelle ?”
- Vidéo: Conversation entre le Dr. Michael Nehls et la juriste Dr. Silvia Behrendt
1. L’OMS : L’Opéra Bouffe des Pandémies
Préparez-vous à une comédie dramatique où les scandales de santé publique se transforment en une saga digne d’un opéra bouffe ! Voici la version parodique de l’article explosif de PD Dr. Michael Nehls, qui nous plonge dans les coulisses chaotiques de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Accrochez-vous, car cette pièce est pleine de rebondissements, de quiproquos, et d’un humour noir qui, par moments, touche au tragique.
Acte 1 : Les dons mystères et les marionnettistes
L’histoire s’ouvre sur une scène surréaliste : l’OMS, censée être un bastion de la santé publique, est en réalité financée comme un projet Kickstarter. Imaginez les donateurs privés, représentés comme de riches bienfaiteurs excentriques, chacun agitant des marionnettes de l’OMS dans une salle sombre. « Plus de 80 % de leur financement provient de nous », clament-ils en chœur. Dr. Silvia Behrendt, qui joue ici le rôle d’une inspectrice perspicace, soulève le rideau : « Qui dicte vraiment la politique ici ? Les intérêts de la santé publique ou ceux des grandes fortunes ? »
L’ambiance est teintée d’une ironie amère alors que les membres de l’OMS jonglent avec des enveloppes remplies de « dons réservés », chaque geste accompagné d’un clin d’œil au public, comme pour dire : « Oui, c’est aussi tordu que ça en a l’air. »
Acte 2 : ROI ou le retour sur l’illusion
Dans une tournure digne d’une pièce de Molière, l’OMS se transforme en une sorte de fonds spéculatif international, promettant un Retour sur Investissement (ROI) de 35 dollars pour chaque dollar investi. Les donateurs, joués par des acteurs en costumes brillants, dansent de joie sur scène. « Qui aurait cru qu’investir dans la santé pourrait rapporter autant que la Bourse ! » s’exclame un personnage, visiblement euphorique.
Dr. Behrendt apparaît à nouveau, cette fois avec une loupe et un chapeau de détective, examinant les contrats à la recherche de la moindre clause suspecte. Elle clame : « Un ROI aussi élevé ? Cela sent l’arnaque plus que l’aspirine ! » Le public éclate de rire tout en ressentant un malaise grandissant. Peut-on vraiment rire de cela ?
Acte 3 : L’étrange laboratoire du docteur Pandémie
Nous plongeons ensuite dans le laboratoire secret de l’OMS, une pièce enfumée et mystérieuse où des scientifiques, représentés comme des alchimistes du Moyen Âge, choisissent quels virus deviendront les stars de la prochaine saison de « Pandémie Mondiale ».
En collaboration avec la CEPI, décrite ici comme une « alliance diabolique », l’OMS semble jouer avec les épidémies comme s’il s’agissait d’ingrédients pour une potion magique. « Aujourd’hui, nous allons mélanger un peu de grippe aviaire avec une touche de corona, juste pour voir ce qui se passe ! » dit un personnage, provoquant une vague de rires suivie d’une sueur froide.
Dr. Behrendt, ne lâchant rien, demande : « Et si le SRAS-CoV-2 avait été manipulé ? » Silence dramatique sur scène, suivi d’une explosion de rires nerveux. On pourrait croire à une farce, mais est-ce vraiment si éloigné de la réalité ?
Acte 4 : Déclarations d’urgence ou quand le cirque arrive en ville
Nous voilà au sommet de cette comédie dramatique : l’OMS, capable de déclencher des alarmes pandémiques mondiales avec la facilité d’un chef d’orchestre lançant un grand final. Chaque déclaration d’urgence est illustrée par des clowns en panique, courant de tous côtés en agitant des drapeaux rouges.
Les scientifiques et dirigeants de l’OMS, costumés en directeurs de cirque, annoncent les nouvelles pandémies avec un flair théâtral : « Et maintenant, Mesdames et Messieurs, l’urgence mondiale que vous attendiez tous ! » La foule (le public, dans notre pièce) rit, mais aussi, commence à sentir l’angoisse monter.
Acte 5 : Permapandémies ou la saison qui ne finit jamais
Dans le final grandiose, l’OMS est dépeinte comme une usine à crises, constamment en train de préparer la prochaine grande épidémie, comme si elle produisait le prochain blockbuster hollywoodien. Les mots « permapandémie » et « état d’alerte » sont chantés sur un air entraînant, rappelant un refrain de comédie musicale.
Dr. Behrendt monte sur scène une dernière fois, brandissant un panneau qui dit : « Réformons l’OMS ! » Sa voix est celle de la raison dans ce chaos, mais les autres personnages, obsédés par leurs profits et leurs scandales, ne l’entendent pas. Le rideau tombe sur une scène de confusion totale, laissant le public partagé entre le rire et la réflexion.
Une mascarade qui fait réfléchir
Cette parodie dramatique de l’article de Michael Nehls transforme les accusations contre l’OMS en un spectacle grotesque où la satire rencontre la réalité. Tandis que le public sort du théâtre, il se demande : « Était-ce une comédie ou une tragédie moderne ? » Peu importe la réponse, ce qui est certain, c’est que l’OMS, dans ce récit, a joué son rôle à la perfection dans une farce qui, malgré tout, semble dangereusement proche de la vérité.
2. Méta-synthèse de l’article “L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) : une machine à imprimer de l’argent potentiellement mortelle ?”
par PD Dr. Michael Nehls, 16 août 2024 : Source
Dans cet article, PD Dr. Michael Nehls critique vivement l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), la décrivant comme une machine à profits dangereuse, davantage concernée par les intérêts financiers privés que par la santé publique mondiale. À travers une interview avec le Dr. Silvia Behrendt, une ancienne conseillère juridique de l’OMS et fondatrice de l’ONG « Global Health Responsibility Agency », Nehls expose des accusations graves sur la gouvernance de l’OMS et ses relations étroites avec des entités privées.
1. Financement Opaque et Manipulation des Politiques de Santé :
- L’influence des donateurs privés : L’OMS reçoit plus de 80 % de son financement sous forme de dons réservés, principalement de grandes entreprises pharmaceutiques et de fondations privées comme la Fondation Bill et Melinda Gates. Selon le Dr. Behrendt, cette structure de financement “permet aux donateurs de dicter les priorités de l’OMS,” transformant l’organisation en “un outil pour promouvoir les intérêts de ceux qui ont les moyens financiers, plutôt que de protéger la santé publique.”
- Absence de transparence : Dr. Behrendt souligne que l’OMS n’est pas obligée de divulguer en détail comment ces fonds sont utilisés, créant un terrain fertile pour les conflits d’intérêts. Elle affirme que “sans transparence, l’OMS devient une marionnette contrôlée par ses plus gros contributeurs financiers, ce qui est extrêmement préoccupant pour la gouvernance mondiale de la santé.”
2. Retour sur Investissement Exorbitant et Pratiques Suspectes :
- Un retour sur investissement douteux : L’OMS promet à ses donateurs un retour sur investissement (ROI) de 35 dollars pour chaque dollar investi. Le ROI, ou retour sur investissement, est une mesure financière utilisée pour évaluer l’efficacité d’un investissement. Il exprime le rendement financier gagné par rapport au coût initial de l’investissement. Dr. Behrendt critique vivement cette approche, déclarant que “cela transforme l’OMS en une entreprise axée sur le profit plutôt qu’une organisation de santé. Un ROI aussi élevé suggère que les décisions de l’OMS sont influencées par des motivations financières plutôt que par des besoins de santé publique.”
- Favoritisme et risques de corruption : Avec un tel ROI, il y a un risque élevé que les investisseurs cherchent à influencer les politiques de l’OMS en leur faveur, que ce soit pour promouvoir certains médicaments ou développer des traitements coûteux. Dr. Behrendt met en garde que “ce modèle de financement encourage un comportement où la santé publique passe après les intérêts des investisseurs.”
3. Manipulation de la Recherche et des Pandémies :
- Contrôle de la recherche mondiale : Le Dr. Behrendt met en évidence le fait que l’OMS, en collaboration avec la CEPI, dicte la direction de la recherche mondiale à travers une liste étroite de pathogènes prioritaires. La CEPI, ou Coalition for Epidemic Preparedness Innovations, est un partenariat mondial fondé en 2017, visant à accélérer le développement de vaccins contre les maladies émergentes. Dr. Behrendt critique ce partenariat, le qualifiant de “tentative de monopolisation de la recherche scientifique,” où les intérêts des donateurs privés priment sur les besoins de santé publique. Elle affirme que “l’OMS et la CEPI limitent la recherche à des pathogènes spécifiques pour contrôler les réponses aux futures pandémies, ce qui favorise une approche rentable pour quelques-uns plutôt qu’une réponse de santé globale inclusive.”
- Allégations de recherche sur le « gain de fonction » : L’article mentionne des soupçons selon lesquels le SRAS-CoV-2 aurait été manipulé pour accroître sa dangerosité. Behrendt explique que “si de telles allégations sont fondées, l’OMS pourrait être impliquée dans une manipulation des pandémies à des fins lucratives, utilisant la peur pour justifier des interventions coûteuses et des vaccins développés avec des intérêts privés.”
4. Gestion Désastreuse des Crises Sanitaires :
- Déclaration des pandémies et gestion des urgences : L’OMS a le pouvoir de déclarer des urgences sanitaires internationales sans transparence ni consultation suffisante. Dr. Behrendt dénonce ce pouvoir, affirmant que “l’OMS peut, sur une décision unique, déclencher des mesures globales coûteuses qui favorisent ses donateurs, sans véritable justification scientifique ou contrôle indépendant.”
- Programmes de vaccination risqués : L’article accuse l’OMS de promouvoir des programmes de vaccination rapide sans validation suffisante, exposant potentiellement des millions de personnes à des risques non évalués. Dr. Behrendt critique cette approche : “L’OMS devrait être un garant de la sécurité et de l’efficacité, pas un accélérateur pour des produits non testés qui servent les profits des donateurs.”
5. Création d’un “Monde de Permapandémies” :
- Préparation excessive et création de crises : Dr. Behrendt suggère que l’OMS, sous pression de ses investisseurs, pourrait être tentée de perpétuer un état de crise mondiale pour justifier des actions et maintenir un flux constant de financement. “Ce modèle de gestion de la santé publique”, dit-elle, “encourage l’OMS à maintenir le monde en état d’alerte constant, ouvrant la voie à des manipulations et à une exploitation économique sous couvert de préparation sanitaire.”
L’article de Michael Nehls, renforcé par les critiques acerbes du Dr. Silvia Behrendt, présente l’OMS comme une organisation profondément corrompue par les intérêts financiers privés, plus axée sur la génération de profits que sur la protection de la santé publique mondiale. Behrendt appelle à une réforme radicale de l’OMS, exigeant “une transparence totale, une responsabilité accrue et une exclusion immédiate des intérêts privés de ses décisions.” Elle conclut avec un avertissement grave : “Tant que l’OMS restera sous l’influence des grands financeurs privés, elle ne sera jamais en mesure de remplir sa mission de protéger la santé mondiale de manière impartiale et efficace.”
Cette synthèse met en lumière les accusations graves portées contre l’OMS, qui suggèrent que l’organisation pourrait être plus préoccupée par ses relations avec les investisseurs que par la santé publique. Ces allégations nécessitent une enquête approfondie et une révision de la gouvernance de l’OMS pour restaurer la confiance du public et assurer la protection de la santé mondiale.