Dans cet Article:
- Dérives Sectaires au secours des Médias Complaisants
- L’OTAN et ses 8 millions de morts
Dérives Sectaires au secours des Médias Complaisants
Aux journalistes qui mettent plus d’efforts à façonner une certaine perception des événements qu’à fournir une information complète et honnête. Ou bien, compromis éthiques et moraux faits par une presse subventionnée pour servir des intérêts spécifiques, au détriment de l’objectivité et de la transparence.
À l’image de la gestion controversée de la prétendue “crise Covid-19”, marquée par la diffusion d’informations erronées, les médias subventionnés dotés de moyens de diffusion extraordinaire continuent d’influencer notre perception des conflits, exemple parmi tant d’autres ceux impliquant l’OTAN. Ou ils mettent en avant certaines atrocités tout en minimisant d’autres, contribuant ainsi à banaliser des millions de morts dans les récits dominants. Cette manipulation de l’information fausse notre compréhension de la réalité et des enjeux, créant une vision biaisée des événements mondiaux.
Dans ce contexte, le métier de journaliste conforme peut être perçu comme encore plus dégradant que la prostitution. Contraints de manipuler l’information pour servir les intérêts des puissants, les journalistes trahissent leur mission d’informer avec vérité et impartialité. Soumis aux pressions des annonceurs, des politiques et de leurs subventions, ils deviennent des propagandistes masquant leurs compromissions sous une apparence de respectabilité. Tandis qu’une prostituée peut revendiquer et assumer son choix, les journalistes corrompus se cachent derrière une façade de respectabilité morale, trompant ainsi le public qu’ils devraient éclairer. Leur déviation professionnelle est d’autant plus grave qu’ils prétendent servir le bien commun tout en le manipulant cyniquement, transformant ainsi leur complicité en crime médiatique.
Sous la présidence de Monsieur Macron, le gouvernement a renforcé les mesures légales en réponse à la méfiance croissante envers les médias subventionnés et leurs journalistes badgés presse, de plus en plus perçus comme superficiels. La loi n° 2024-420 du 10 mai 2024, fortement critiquée, restreint la liberté de la presse indépendante et, par conséquent, la liberté d’expression, servant ainsi de béquille à la propagande médiatique d’État. Elle autorise des poursuites judiciaires contre les médias indépendants accusés de promouvoir les “dérives sectaires”, une catégorie suffisamment vague pour inclure diverses opinions, ce qui pousse à l’autocensure. De plus, cette loi permet de surveiller et de censurer les contenus en ligne, réduisant ainsi la diversité des opinions et restreignant le débat public. Les définitions floues des “dérives sectaires” ouvrent la porte à des interprétations larges et arbitraires, ciblant injustement des opinions divergentes.
Plusieurs points critiques sont formulés à l’encontre des médias conventionnels et de la législation récente en France, en particulier la loi du 10 mai 2024. Ces critiques soulignent les désinformations liées au vaccin contre le Covid-19, à la géopolitique et la manière dont ces informations ont été relayées par les médias subventionnés, conduisant à une méfiance croissante parmi la population non-conforme.
Les critiques principales se concentrent sur les aspects suivants :
- Désinformation scientifique et mensonges médiatiques : Les médias conventionnels sont accusés d’avoir propagé des informations erronées ou trompeuses sur l’efficacité et la sécurité des vaccins contre le Covid-19, ainsi que sur les mesures de santé publique en général. Cela a suscité une perte de confiance parmi la population.
- Impact sur la géopolitique : Exemple sur la représentation manichéenne des conflits, où les alliés de l’OTAN sont systématiquement présentés comme les “gentils” et leurs adversaires comme les “méchants”, est également critiquée.
- Traitement des soignants non vaccinés : Ces mêmes médias, en manipulant les faits et en dissimulant des informations critiques, ont réussi à retourner l’opinion publique, la rendant complaisante face aux licenciements injustes des soignants refusant la vaccination. Cette campagne de désinformation a conduit à une acceptation silencieuse de mesures répressives, créant ainsi une méfiance profonde envers les institutions médiatiques et gouvernementales.
- Critiques de la loi n° 2024-420 du 10 mai 2024 : Cette loi est présentée comme une réponse légale à la méfiance envers les médias conventionnels, mais elle est décriée pour ses restrictions sur la liberté d’expression. En autorisant des poursuites contre les médias indépendants accusés de “dérives sectaires”, une notion jugée vague et trop inclusive, elle pourrait conduire à l’autocensure et à une réduction de la diversité des opinions. De plus, la surveillance et la censure des contenus en ligne sont perçues comme une menace pour le débat public.
Ces remarques mettent en lumière une inquiétude croissante de l’État face à l’incapacité grandissante des médias conventionnels à propager une “Vérité Officielle”. Les subventions d’État ne suffisant plus, des lois répressives ont été renforcées. La désinformation scientifique ou géopolitique, exacerbée par la complaisance des médias subventionnés, a permis de diffuser des récits alarmistes sur les ravages prétendus du virus et de promouvoir de manière exagérée les résultats du vaccin, allant jusqu’à l’acceptation de l’interdiction des Russes aux Jeux Olympiques de Paris 2024.
Pour ne pas perdre leur emprise sur la conscience publique, les gouvernements sous la tutelle du Président Macron ont mis en place la loi n° 2024-420 du 10 mai 2024. Loin de renforcer la transparence et la responsabilité des médias, cette loi est perçue comme une tentative de museler les voix dissidentes et de consolider un contrôle étatique sur le discours public. En qualifiant des opinions divergentes de “dérives sectaires”, cette loi ouvre la porte à une censure arbitraire, menaçant ainsi la pluralité des idées et la liberté d’expression.
Plutôt que d’assurer une information de qualité, tant en science qu’en géopolitique, cette loi révèle clairement, pour ceux qui ne se contentent pas de discours superficiels, d’une orientation vers une propagande officielle destinée aux “cervelles de castor“, sacrifiant ainsi la confiance du public éclairé dans les institutions médiatiques et gouvernementales.
L’OTAN et ses 8 millions de morts
Depuis sa création le 4 avril 1949, l’OTAN (Organisation du Traité de l’Atlantique Nord) a été impliquée dans plus de 20 opérations et missions militaires majeures. Voici quelques-unes des plus importantes et leurs impacts humains :
Guerre de Corée (1950-1953)
- Pertes totales : environ 2 à 3 millions de morts (militaires et civils).
- Morts des Nations Unies (OTAN inclus) : environ 178 000.
- Morts nord-coréens et chinois : environ 1,5 million.
- Résultat historique : La guerre s’est terminée par un armistice en 1953, établissant la frontière le long du 38e parallèle, sans victoire décisive. La péninsule coréenne reste divisée entre la Corée du Nord et la Corée du Sud.
Guerre du Vietnam (1955-1975)
- Pertes totales : environ 3,6 à 4,2 millions de morts.
- Pertes militaires vietnamiennes : environ 1,1 à 1,2 million de soldats tués.
- Pertes militaires américaines : environ 58 220 soldats américains tués.
- Pertes civiles vietnamiennes : environ 2 millions de civils tués pendant le conflit.
- Pertes civiles cambodgiennes et laotiennes : environ 200 000 à 300 000 civils tués du fait de l’extension du conflit.
- Résultat historique : La guerre a pris fin en 1975 avec la chute de Saïgon et la réunification du Vietnam sous un régime communiste. Les États-Unis, malgré leur soutien massif, n’ont pas réussi à empêcher la victoire des forces communistes.
Guerre de Bosnie (1992-1995)
- Pertes totales : environ 100 000 morts (principalement des civils).
- Pertes de l’OTAN : quelques soldats.
- Résultat historique : L’intervention de l’OTAN, notamment avec l’opération Deliberate Force, a aidé à mettre fin au conflit. L’Accord de Dayton a été signé en 1995, établissant un cadre pour la paix en Bosnie-Herzégovine.
Guerre du Kosovo (1999)
- Pertes totales : environ 13 500 morts (principalement des Albanais du Kosovo).
- Pertes de l’OTAN : aucun décès au combat rapporté.
- Pertes serbes : environ 1 200 à 2 500 militaires et policiers.
- Résultat historique : La campagne de bombardement de l’OTAN a conduit au retrait des forces serbes du Kosovo et à l’établissement d’une mission de maintien de la paix de l’ONU. Le Kosovo a déclaré son indépendance en 2008, bien que non reconnue par tous les pays.
Guerre d’Afghanistan (2001-présent)
- Pertes totales : environ 157 000 morts (militaires, civils et insurgés).
- Pertes de l’OTAN (ISAF) : environ 3 500 soldats tués.
- Pertes afghanes et talibans : environ 106 000 (64 000 soldats et 42 000 insurgés).
- Résultat historique : L’intervention a conduit à la chute du régime taliban en 2001. Cependant, le pays a connu une instabilité prolongée avec un retour en force des talibans, qui ont repris le contrôle en 2021 après le retrait des forces internationales.
Intervention en Libye (2011)
- Pertes totales : environ 30 000 morts (civils et combattants libyens).
- Pertes de l’OTAN : aucun décès au combat rapporté.
- Pertes des forces de Kadhafi : plusieurs milliers de combattants.
- Résultat historique : L’intervention a contribué à la chute de Mouammar Kadhafi. Le pays est depuis plongé dans une guerre civile, avec des divisions entre diverses factions.
Conflit en Irak (depuis 2003)
- Pertes totales : environ 500 000 à 1 million de morts (militaires et civils).
- Pertes de la coalition (OTAN inclus) : environ 4 800 soldats.
- Pertes irakiennes : plusieurs centaines de milliers.
- Résultat historique : Le renversement de Saddam Hussein a été suivi par une période d’occupation et de violence sectaire. Le pays reste politiquement instable, avec des tensions continues et l’émergence de groupes comme Daech.
Conflit en Ukraine (depuis 2014)
- Pertes totales : environ 690 000 morts (militaires et civils – Fin juillet 2024)
- Pertes militaires ukrainiennes : environ 500 000.
- Pertes des séparatistes et militaires russes : environ 150 000.
- Pertes civiles : environ 40 000.
- Résultat et Perspectives de la “Défaite Programmée”. Certains observateurs voient la situation actuelle comme une “défaite” de plus pour l’OTAN, marquant son incapacité à atteindre ses objectifs et mettant en lumière plusieurs points critiques :
- Ingérence aux frontières de la Russie : L’OTAN, dans sa quête de domination, a outrepassé ses limites en s’ingérant trop près des frontières russes. Cette arrogance perçue a exacerbé les tensions, au détriment de la stabilité régionale.
- Consolidation du contrôle russe : La Russie a réunifié la Crimée et maintient une influence significative dans les régions séparatistes de l’est de l’Ukraine, ce qui souligne l’échec des stratégies d’ingérence de l’OTAN.
- Résilience militaire russe : Malgré les sanctions et les tentatives de pression économique, la Russie a démontré sa capacité à soutenir une guerre prolongée, révélant ainsi les limites des approches de l’OTAN dans la politique russe.
- Divisions internes en Ukraine et en Occident : Le conflit a exacerbé les dissensions en Ukraine et parmi les membres de l’OTAN concernant la gestion de la crise, révélant un manque de planification cohérente et une faiblesse dans l’approche stratégique de l’alliance.
Conclusion:
La politique interventionniste de l’OTAN a contribué à des conflits qui ont coûté la vie à 8 millions de personnes, de part et d’autre, dont la majorité des civils comprenant des femmes, des enfants et des personnes âgées. L’approche de l’OTAN, souvent perçue comme arrogante et insensible aux conséquences humanitaires, a accentué la perception d’une organisation plus préoccupée par l’affirmation de sa puissance que par la recherche de solutions pacifiques.
Ces chiffres sont des estimations et peuvent varier en fonction des sources et des méthodologies utilisées pour les calculer. Ils illustrent l’ampleur des pertes humaines dans les conflits où l’OTAN a été directement ou indirectement impliquée.